ZARAH

Biographie

Jeune artiste belge-marocaine, curieuse et polyvalente, je me suis nourrie de bien des choses diverses et variées avant de transitionner « officiellement » vers la musique. Ayant baigné dans un environnement socioculturel riche, avec des parents diamétralement opposés dans tous les sens du terme et tous deux travaillant dans le cinéma, j’ai pu exprimer ma fibre artistique très jeune et de manière très décomplexée. Je couds, dessine, organise des spectacles et commence à réaliser des courts-métrages avec mes Barbies à neuf ans. Ensuite, je découvre le théâtre à l’Académie d’Uccle en 2012, où je suis assidûment des cours d’art dramatique, de déclamation, et de diction-orthophonie, et ce, jusqu’à la fin du secondaire.
Durant cette période, j’enchaîne les castings et me forme avec mes premiers workshops de jeu face caméra. Je me retrouve jury jeune au BSFF 2019, puis bénévole au BRIFF 2022. Je présente un film en OFF en tant qu’actrice au Odense Film Festival en 2023, et j’ai récemment été en accompagnement avec Médiarte pour un projet de court-métrage au BSFF 2024.
Concernant mes études, j’ai eu la chance de faire une Prépa à la Oxford School of Drama en théâtre avant d’enchaîner avec une Prépa en réalisation au Danemark. Des années stimulantes où j’ai pu perfectionner mon anglais et développer mon réseau à l’international.
Avide de nouvelles expériences et en soif d’apprentissage, je vais régulièrement à l’AKDT où j’ai fait du jeu face caméra, du stand-up, du monologue au théâtre et en 2023 un stage de musique urbaine avec Kaer. J’ai toujours eu envie de faire de la musique, j’en ai d’ailleurs pas mal fait pendant le confinement, mais n’ai jamais osé faire écouter à qui que ce soit. Là, c’est la révélation : j’écris et performe avec l’aide de Kaer « OLALA ».
Ensuite, j’écris des chansons dans mon coin sur des prods YouTube, je tâte le terrain pour voir si ça me plaît : je vais au VKRS et participe en tant que comédienne au speed clipping, je me renseigne sur les différents organismes d’aide, vais à la rencontre de gens dans la musique, etc. Tout en continuant mes activités de réalisatrice et comédienne (deux courts-métrages réalisés, des rôles dans divers projets, et l’écriture d’un docu-fiction que je suis actuellement en train de tourner à Venise, à l’instant où j’écris ces lignes).
En juillet 2024, je retourne à l’AKDT en stage de musique électronique avec Alain Deval pour apprendre à utiliser Ableton et gagner en autonomie en termes de composition.
Je suis très emballée par le projet musical sur lequel je travaille, à savoir 3 singles et un EP pour septembre prochain, avec 10 dates de concerts à Bruxelles, un clip, une release party et un festival pour l’été 2025.
C’est là que vous intervenez.

J’aimerais bénéficier d’un encadrement pour pouvoir me confronter à un regard neutre et professionnel. Autant je suis très à l’aise avec la création, autant j’ai une tendance à m’éparpiller. Je recherche donc au sein de cet accompagnement un cadre pour pouvoir me confronter à des avis extérieurs sur ce qui ressort de ce projet, si trop d’éléments rentrent en compte ou si justement ce mélange extrême et excentrique peut être la carte à jouer?

Procéder à un état des lieux et aux ressources qui pourraient m’aiguiller, Travailler sur la forme, comment le présenter, le vendre pour trouver des collaborateurs artistiques ou économiques. Revoir le planning, est-il ambitieux ou trop ambitieux ?

Je me suis pas mal renseignée sur la théorie de comment se développer en tant que musicienne en Belgique, que ce soit avec des séances d’infos Mediarte, Iles, Boris Engels ou en discutant avec des professionnels à qui j’ai parfois pu faire écouter mes maquettes. Aujourd’hui, il est temps de concrétiser ce projet, de mettre les choses à plat à plusieurs cerveaux pour pouvoir prendre du recul et déterminer un plan d’attaque.

En tant que comédienne, réalisatrice et diplômée de Saint-Luc Bruxelles secondaire en Arts de l’image, les arts graphiques occupent une place toute particulière dans mon cœur. J’aime créer des univers, notamment visuels, en raison de ma passion pour le cinéma. Mélanger les genres musicaux et les arts me permet de me sentir libre dans la création.

La liberté est le thème principal de ce premier projet musical. S’assumer, oser prendre son pouvoir et cette position de femme forte voir "dur" et avec toute la fragilité et la fébrilité qu’elle implique. Toujours avec de l’humour, de l’excentricité et une grande sincérité.

Je vise un public de jeunes femmes qui n’attendent que de crier et de chanter qu’elles s’aiment et qu’elles se sentent belles. Qu’elles sont fortes et qu’elles s’en foutent, qu’elles se sentent trop et pas assez, que tout ce qu’elles veulent, c’est aimer en toute liberté, de rire et pleurer fort, de prendre de la place, d’être super classes et pourquoi pas un peu pétasses quand on les agace. Qu’elles veulent plaire parce que ça fait du bien, de rire des mecs qui ne comprennent jamais rien, d’être en colère et pas que quand c’est légitime, et d’embrasser la figure d’hystérique si ça peut faire réagir, de prendre du recul sur ce monde absurde et d’inviter les mecs à comprendre nos blessures.
  • Pop
  • Pop Rock
  • Urbain
  • Pop française
  • Electro-pop
  • Bruxelles

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Retrouvez ici les plateformes sur lesquelles l'artiste est présent·e

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Jeune artiste belge-marocaine, curieuse et polyvalente, je me suis nourrie de bien des choses diverses et variées avant de transitionner « officiellement » vers la musique. Ayant baigné dans un environnement socioculturel riche, avec des parents diamétralement opposés dans tous les sens du terme et tous deux travaillant dans le cinéma, j’ai pu exprimer ma fibre artistique très jeune et de manière très décomplexée. Je couds, dessine, organise des spectacles et commence à réaliser des courts-métrages avec mes Barbies à neuf ans. Ensuite, je découvre le théâtre à l’Académie d’Uccle en 2012, où je suis assidûment des cours d’art dramatique, de déclamation, et de diction-orthophonie, et ce, jusqu’à la fin du secondaire.
Durant cette période, j’enchaîne les castings et me forme avec mes premiers workshops de jeu face caméra. Je me retrouve jury jeune au BSFF 2019, puis bénévole au BRIFF 2022. Je présente un film en OFF en tant qu’actrice au Odense Film Festival en 2023, et j’ai récemment été en accompagnement avec Médiarte pour un projet de court-métrage au BSFF 2024.
Concernant mes études, j’ai eu la chance de faire une Prépa à la Oxford School of Drama en théâtre avant d’enchaîner avec une Prépa en réalisation au Danemark. Des années stimulantes où j’ai pu perfectionner mon anglais et développer mon réseau à l’international.
Avide de nouvelles expériences et en soif d’apprentissage, je vais régulièrement à l’AKDT où j’ai fait du jeu face caméra, du stand-up, du monologue au théâtre et en 2023 un stage de musique urbaine avec Kaer. J’ai toujours eu envie de faire de la musique, j’en ai d’ailleurs pas mal fait pendant le confinement, mais n’ai jamais osé faire écouter à qui que ce soit. Là, c’est la révélation : j’écris et performe avec l’aide de Kaer « OLALA ».
Ensuite, j’écris des chansons dans mon coin sur des prods YouTube, je tâte le terrain pour voir si ça me plaît : je vais au VKRS et participe en tant que comédienne au speed clipping, je me renseigne sur les différents organismes d’aide, vais à la rencontre de gens dans la musique, etc. Tout en continuant mes activités de réalisatrice et comédienne (deux courts-métrages réalisés, des rôles dans divers projets, et l’écriture d’un docu-fiction que je suis actuellement en train de tourner à Venise, à l’instant où j’écris ces lignes).
En juillet 2024, je retourne à l’AKDT en stage de musique électronique avec Alain Deval pour apprendre à utiliser Ableton et gagner en autonomie en termes de composition.
Je suis très emballée par le projet musical sur lequel je travaille, à savoir 3 singles et un EP pour septembre prochain, avec 10 dates de concerts à Bruxelles, un clip, une release party et un festival pour l’été 2025.
C’est là que vous intervenez.

J’aimerais bénéficier d’un encadrement pour pouvoir me confronter à un regard neutre et professionnel. Autant je suis très à l’aise avec la création, autant j’ai une tendance à m’éparpiller. Je recherche donc au sein de cet accompagnement un cadre pour pouvoir me confronter à des avis extérieurs sur ce qui ressort de ce projet, si trop d’éléments rentrent en compte ou si justement ce mélange extrême et excentrique peut être la carte à jouer?

Procéder à un état des lieux et aux ressources qui pourraient m’aiguiller, Travailler sur la forme, comment le présenter, le vendre pour trouver des collaborateurs artistiques ou économiques. Revoir le planning, est-il ambitieux ou trop ambitieux ?

Je me suis pas mal renseignée sur la théorie de comment se développer en tant que musicienne en Belgique, que ce soit avec des séances d’infos Mediarte, Iles, Boris Engels ou en discutant avec des professionnels à qui j’ai parfois pu faire écouter mes maquettes. Aujourd’hui, il est temps de concrétiser ce projet, de mettre les choses à plat à plusieurs cerveaux pour pouvoir prendre du recul et déterminer un plan d’attaque.

En tant que comédienne, réalisatrice et diplômée de Saint-Luc Bruxelles secondaire en Arts de l’image, les arts graphiques occupent une place toute particulière dans mon cœur. J’aime créer des univers, notamment visuels, en raison de ma passion pour le cinéma. Mélanger les genres musicaux et les arts me permet de me sentir libre dans la création.

La liberté est le thème principal de ce premier projet musical. S’assumer, oser prendre son pouvoir et cette position de femme forte voir "dur" et avec toute la fragilité et la fébrilité qu’elle implique. Toujours avec de l’humour, de l’excentricité et une grande sincérité.

Je vise un public de jeunes femmes qui n’attendent que de crier et de chanter qu’elles s’aiment et qu’elles se sentent belles. Qu’elles sont fortes et qu’elles s’en foutent, qu’elles se sentent trop et pas assez, que tout ce qu’elles veulent, c’est aimer en toute liberté, de rire et pleurer fort, de prendre de la place, d’être super classes et pourquoi pas un peu pétasses quand on les agace. Qu’elles veulent plaire parce que ça fait du bien, de rire des mecs qui ne comprennent jamais rien, d’être en colère et pas que quand c’est légitime, et d’embrasser la figure d’hystérique si ça peut faire réagir, de prendre du recul sur ce monde absurde et d’inviter les mecs à comprendre nos blessures.
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