Tom Tempête
Biographie
Tom Tempête aurait pu commencer la musique très jeune comme son frère jumeau Matthieu Safatly qui, depuis 25 ans, est musicien professionnel. Mais non, il fallait déjà qu’il fasse « pas pareil que l’frangin ».
Il ne commence en effet qu’en 2003 à faire de la musique, sous le nom de Stringo Jett, en tant que bassiste de Bang Lassi. Ce groupe post-punk-psyché allait se hisser au top des hit-parades du Monde entier, faire des tournées sans pareil, offrir des vies extravagantes dont la véracité pouvait être remise en question, pour finalement terminer son histoire dans une abracadabrante histoire de sexe, de drogue et de meurtre dans les villas des hauteurs de Los Angeles. C’est tout du moins ce qu’envisageait Pierre Chevalier, le créateur de Bang Lassi, lorsqu’il chercha à convaincre Tom Tempête de faire partie de l’aventure.
En 2005, alors que la notoriété du groupe n’avait toujours pas quitté Bruxelles — et ce malgré un acharnement évident à sortir de la masse (1) — Stringo Jett devint Tom Whist et démarra sa carrière solo. Son premier morceau, Juste pour un scotch, fut son premier tube. Tube qu’il joue d’ailleurs toujours en concert, mais, heureusement pour son foie, plus en suivant au pied de la lettre les paroles comme il en sentait le besoin à ses débuts.
De 2008 à 2016, Tom Whist se fit rare, très rare.
2017 marquera son retour avec panache sous le nom de Tom Tempête. Assumant pleinement son image d’attendrissant crooner-loser, il enrichit son répertoire de nouveaux refrains entêtants, multiplia les concerts épiques au fond des bars, se fit une fanbase inégalable dans Charleroi et ses alentours, et fit quelques clips DIY des plus cocasses.
Aujourd’hui, en cette fin 2025, Tom Tempête retrousse ses manches et décide de passer à un stade supérieur : recherche assidue de concerts, enregistrement d’un album, candidatures pour des résidences, séances photos, formation d’un budget pour faire faire des clips un peu plus sérieusement (tout en gardant bien-sûr sa patte un peu absurde)… Tom trouvera-t-il enfin ce succès tant escompté ? Affaire à suivre !
(1) Acharnement qui les mènera tout de même à passer le premier round d’éliminatoires du Concours Circuits 2006.
Il ne commence en effet qu’en 2003 à faire de la musique, sous le nom de Stringo Jett, en tant que bassiste de Bang Lassi. Ce groupe post-punk-psyché allait se hisser au top des hit-parades du Monde entier, faire des tournées sans pareil, offrir des vies extravagantes dont la véracité pouvait être remise en question, pour finalement terminer son histoire dans une abracadabrante histoire de sexe, de drogue et de meurtre dans les villas des hauteurs de Los Angeles. C’est tout du moins ce qu’envisageait Pierre Chevalier, le créateur de Bang Lassi, lorsqu’il chercha à convaincre Tom Tempête de faire partie de l’aventure.
En 2005, alors que la notoriété du groupe n’avait toujours pas quitté Bruxelles — et ce malgré un acharnement évident à sortir de la masse (1) — Stringo Jett devint Tom Whist et démarra sa carrière solo. Son premier morceau, Juste pour un scotch, fut son premier tube. Tube qu’il joue d’ailleurs toujours en concert, mais, heureusement pour son foie, plus en suivant au pied de la lettre les paroles comme il en sentait le besoin à ses débuts.
De 2008 à 2016, Tom Whist se fit rare, très rare.
2017 marquera son retour avec panache sous le nom de Tom Tempête. Assumant pleinement son image d’attendrissant crooner-loser, il enrichit son répertoire de nouveaux refrains entêtants, multiplia les concerts épiques au fond des bars, se fit une fanbase inégalable dans Charleroi et ses alentours, et fit quelques clips DIY des plus cocasses.
Aujourd’hui, en cette fin 2025, Tom Tempête retrousse ses manches et décide de passer à un stade supérieur : recherche assidue de concerts, enregistrement d’un album, candidatures pour des résidences, séances photos, formation d’un budget pour faire faire des clips un peu plus sérieusement (tout en gardant bien-sûr sa patte un peu absurde)… Tom trouvera-t-il enfin ce succès tant escompté ? Affaire à suivre !
(1) Acharnement qui les mènera tout de même à passer le premier round d’éliminatoires du Concours Circuits 2006.
tom.tempete.musicien (a) gmail.com
Biographie
Tom Tempête aurait pu commencer la musique très jeune comme son frère jumeau Matthieu Safatly qui, depuis 25 ans, est musicien professionnel. Mais non, il fallait déjà qu’il fasse « pas pareil que l’frangin ».
Il ne commence en effet qu’en 2003 à faire de la musique, sous le nom de Stringo Jett, en tant que bassiste de Bang Lassi. Ce groupe post-punk-psyché allait se hisser au top des hit-parades du Monde entier, faire des tournées sans pareil, offrir des vies extravagantes dont la véracité pouvait être remise en question, pour finalement terminer son histoire dans une abracadabrante histoire de sexe, de drogue et de meurtre dans les villas des hauteurs de Los Angeles. C’est tout du moins ce qu’envisageait Pierre Chevalier, le créateur de Bang Lassi, lorsqu’il chercha à convaincre Tom Tempête de faire partie de l’aventure.
En 2005, alors que la notoriété du groupe n’avait toujours pas quitté Bruxelles — et ce malgré un acharnement évident à sortir de la masse (1) — Stringo Jett devint Tom Whist et démarra sa carrière solo. Son premier morceau, Juste pour un scotch, fut son premier tube. Tube qu’il joue d’ailleurs toujours en concert, mais, heureusement pour son foie, plus en suivant au pied de la lettre les paroles comme il en sentait le besoin à ses débuts.
De 2008 à 2016, Tom Whist se fit rare, très rare.
2017 marquera son retour avec panache sous le nom de Tom Tempête. Assumant pleinement son image d’attendrissant crooner-loser, il enrichit son répertoire de nouveaux refrains entêtants, multiplia les concerts épiques au fond des bars, se fit une fanbase inégalable dans Charleroi et ses alentours, et fit quelques clips DIY des plus cocasses.
Aujourd’hui, en cette fin 2025, Tom Tempête retrousse ses manches et décide de passer à un stade supérieur : recherche assidue de concerts, enregistrement d’un album, candidatures pour des résidences, séances photos, formation d’un budget pour faire faire des clips un peu plus sérieusement (tout en gardant bien-sûr sa patte un peu absurde)… Tom trouvera-t-il enfin ce succès tant escompté ? Affaire à suivre !
(1) Acharnement qui les mènera tout de même à passer le premier round d’éliminatoires du Concours Circuits 2006.
Il ne commence en effet qu’en 2003 à faire de la musique, sous le nom de Stringo Jett, en tant que bassiste de Bang Lassi. Ce groupe post-punk-psyché allait se hisser au top des hit-parades du Monde entier, faire des tournées sans pareil, offrir des vies extravagantes dont la véracité pouvait être remise en question, pour finalement terminer son histoire dans une abracadabrante histoire de sexe, de drogue et de meurtre dans les villas des hauteurs de Los Angeles. C’est tout du moins ce qu’envisageait Pierre Chevalier, le créateur de Bang Lassi, lorsqu’il chercha à convaincre Tom Tempête de faire partie de l’aventure.
En 2005, alors que la notoriété du groupe n’avait toujours pas quitté Bruxelles — et ce malgré un acharnement évident à sortir de la masse (1) — Stringo Jett devint Tom Whist et démarra sa carrière solo. Son premier morceau, Juste pour un scotch, fut son premier tube. Tube qu’il joue d’ailleurs toujours en concert, mais, heureusement pour son foie, plus en suivant au pied de la lettre les paroles comme il en sentait le besoin à ses débuts.
De 2008 à 2016, Tom Whist se fit rare, très rare.
2017 marquera son retour avec panache sous le nom de Tom Tempête. Assumant pleinement son image d’attendrissant crooner-loser, il enrichit son répertoire de nouveaux refrains entêtants, multiplia les concerts épiques au fond des bars, se fit une fanbase inégalable dans Charleroi et ses alentours, et fit quelques clips DIY des plus cocasses.
Aujourd’hui, en cette fin 2025, Tom Tempête retrousse ses manches et décide de passer à un stade supérieur : recherche assidue de concerts, enregistrement d’un album, candidatures pour des résidences, séances photos, formation d’un budget pour faire faire des clips un peu plus sérieusement (tout en gardant bien-sûr sa patte un peu absurde)… Tom trouvera-t-il enfin ce succès tant escompté ? Affaire à suivre !
(1) Acharnement qui les mènera tout de même à passer le premier round d’éliminatoires du Concours Circuits 2006.
tom.tempete.musicien (a) gmail.com