SATAMATA
Biographie
On connaît l’importance de la contribution de la communauté belgo-marocaine au sein de la culture hip hop belge mais ce que l’on connaît bien moins c’est la contribution musicale de cette même communauté belge issue de la diversité au sein de la culture Rock/Metal underground bruxelloise !
C’est dans la foulée du succès suscité début des années 80 par AC/DC, TRUST et la vague Metal dans sa diversité que c’est la révélation pour 4 adolescents de l’institut Imelda de Molenbeek- Saint- jean dont 3 belgo-marocains issus d’une même famille et leur pote sicilien qui décident de fonder à Molenbeek le groupe Rock/Metal SEM (poison en arabe) et qui deviendra par après le groupe H2SO4 !
Auto-didactes le quatuor s’installe pour répéter non loin du canal dans une ancienne usine aménagée en locaux de répétition avec pour voisin “Sixty Nine” ou encore “Channel Zero.
Le line up est alors constitué de Thami A. au chant et à la guitare rythmique, Mustapha A. (dit Mouss) à la guitare solo et son frère Mohsine A. (dit Yakizen) à la Basse et André LO à la batterie.
le groupe compose ses premières chansons sur des riff Rock/Metal et pour Thami le chanteur qui écrit tous les textes et co-compose avec Mous la musique, cette activité est avant tout un exutoire de son mal-être d’adolescent, doublé d’un mal-être dû à son statut d’étranger alors qu’il est né à Bruxelles où il se considère chez lui ce qui n’est pas le cas pour la société de l’époque.
La musique du groupe évolue au gré du jeu de ses membres totalisant eu milieux des années 90 environ 15 titres sur un rock/Metal musclé avec des textes engagés politiquement. Les chansons sont en français, en anglais et en arabe.
Une série de concerts ont également lieu au cours des années 90 dans Bruxelles dans de petits festival tels que " Bruxelles en couleurs"
L’équipe de l’émission Simbad présentée par Khiti Benhachem réalise avec Mehrdad taghian pour la RTBF un reportage en 97 sur le groupe que l’on peut voir sur you tube.
Début des années 2000, ne trouvant pas de producteur, le groupe s’essouffle et plusieurs membres du groupe se marient, le chanteur part vivre en France dans le Limousin et le groupe est alors en 2003 rangé au placard !
En 2007 suite à un concert one-shot en France dans la salle polyvalente de Guéret dans la Creuse le groupe se reforme et prends ses quartiers dans les caves de l’église Saint Vincent de Paul à Anderlecht et change de nom d’en la foulée pour devenir SATAMATA (qui se prononce chatamata) et désigne en dialecte marocain « les femmes qui portent la culotte ».
SATAMATA décide de recommencer à zéro et sa musique évolue très vite vers un rock/Metal plus policé, plus mûr et plus abouti.
Mouss a pris en charge la majeure partie des nouvelles compositions musicales du groupe ainsi que la partie technique des enregistrements studio de SATAMATA, tandis que Thami s’est chargé des arrangements et de l’écriture des paroles en français, anglais et arabe abordant des thèmes divers tels que sur le titre en anglais « Revolution » écrit courant 2011 en lien avec le printemps arabe et dont un clip vidéo circule sur you tube.
Le groupe qui n’a toujours pas de producteur, décide de plancher sur un triple album avec les même chansons mais dans les trois langues avec lesquels il a l’habitude de chanter. Le projet artistique est ambitieux pour ne pas dire titanesque, les 10 titres en anglais comme “Only the strong survive” et les 10 titres en français dont le “Jamais Vaincu” sont bouclés dans un délais raisonnable tandis que les 10 titres version en langue arabe tardent à se boucler et prennent du temps qui se chiffre en années !
Entre temps l’église Saint Vincent de Paul située chaussée de Ninove est cédée à la région flamande qui en fait une école secondaire ce qui a pour conséquence que le groupe perd au plus mauvais moment son studio de répétition.
Par chance une grosse partie des compositions de SATAMATA sont sauvées, enregistrées et feront l’objet d’un album auto-poduit avec un mixe du projet initial de triple album et devrait voir le jour avant fin 2024 avec pour titre de l’album “Jamais Vaincu”.
C’est dans la foulée du succès suscité début des années 80 par AC/DC, TRUST et la vague Metal dans sa diversité que c’est la révélation pour 4 adolescents de l’institut Imelda de Molenbeek- Saint- jean dont 3 belgo-marocains issus d’une même famille et leur pote sicilien qui décident de fonder à Molenbeek le groupe Rock/Metal SEM (poison en arabe) et qui deviendra par après le groupe H2SO4 !
Auto-didactes le quatuor s’installe pour répéter non loin du canal dans une ancienne usine aménagée en locaux de répétition avec pour voisin “Sixty Nine” ou encore “Channel Zero.
Le line up est alors constitué de Thami A. au chant et à la guitare rythmique, Mustapha A. (dit Mouss) à la guitare solo et son frère Mohsine A. (dit Yakizen) à la Basse et André LO à la batterie.
le groupe compose ses premières chansons sur des riff Rock/Metal et pour Thami le chanteur qui écrit tous les textes et co-compose avec Mous la musique, cette activité est avant tout un exutoire de son mal-être d’adolescent, doublé d’un mal-être dû à son statut d’étranger alors qu’il est né à Bruxelles où il se considère chez lui ce qui n’est pas le cas pour la société de l’époque.
La musique du groupe évolue au gré du jeu de ses membres totalisant eu milieux des années 90 environ 15 titres sur un rock/Metal musclé avec des textes engagés politiquement. Les chansons sont en français, en anglais et en arabe.
Une série de concerts ont également lieu au cours des années 90 dans Bruxelles dans de petits festival tels que " Bruxelles en couleurs"
L’équipe de l’émission Simbad présentée par Khiti Benhachem réalise avec Mehrdad taghian pour la RTBF un reportage en 97 sur le groupe que l’on peut voir sur you tube.
Début des années 2000, ne trouvant pas de producteur, le groupe s’essouffle et plusieurs membres du groupe se marient, le chanteur part vivre en France dans le Limousin et le groupe est alors en 2003 rangé au placard !
En 2007 suite à un concert one-shot en France dans la salle polyvalente de Guéret dans la Creuse le groupe se reforme et prends ses quartiers dans les caves de l’église Saint Vincent de Paul à Anderlecht et change de nom d’en la foulée pour devenir SATAMATA (qui se prononce chatamata) et désigne en dialecte marocain « les femmes qui portent la culotte ».
SATAMATA décide de recommencer à zéro et sa musique évolue très vite vers un rock/Metal plus policé, plus mûr et plus abouti.
Mouss a pris en charge la majeure partie des nouvelles compositions musicales du groupe ainsi que la partie technique des enregistrements studio de SATAMATA, tandis que Thami s’est chargé des arrangements et de l’écriture des paroles en français, anglais et arabe abordant des thèmes divers tels que sur le titre en anglais « Revolution » écrit courant 2011 en lien avec le printemps arabe et dont un clip vidéo circule sur you tube.
Le groupe qui n’a toujours pas de producteur, décide de plancher sur un triple album avec les même chansons mais dans les trois langues avec lesquels il a l’habitude de chanter. Le projet artistique est ambitieux pour ne pas dire titanesque, les 10 titres en anglais comme “Only the strong survive” et les 10 titres en français dont le “Jamais Vaincu” sont bouclés dans un délais raisonnable tandis que les 10 titres version en langue arabe tardent à se boucler et prennent du temps qui se chiffre en années !
Entre temps l’église Saint Vincent de Paul située chaussée de Ninove est cédée à la région flamande qui en fait une école secondaire ce qui a pour conséquence que le groupe perd au plus mauvais moment son studio de répétition.
Par chance une grosse partie des compositions de SATAMATA sont sauvées, enregistrées et feront l’objet d’un album auto-poduit avec un mixe du projet initial de triple album et devrait voir le jour avant fin 2024 avec pour titre de l’album “Jamais Vaincu”.
muchkill (a) gmx.fr
Biographie
On connaît l’importance de la contribution de la communauté belgo-marocaine au sein de la culture hip hop belge mais ce que l’on connaît bien moins c’est la contribution musicale de cette même communauté belge issue de la diversité au sein de la culture Rock/Metal underground bruxelloise !
C’est dans la foulée du succès suscité début des années 80 par AC/DC, TRUST et la vague Metal dans sa diversité que c’est la révélation pour 4 adolescents de l’institut Imelda de Molenbeek- Saint- jean dont 3 belgo-marocains issus d’une même famille et leur pote sicilien qui décident de fonder à Molenbeek le groupe Rock/Metal SEM (poison en arabe) et qui deviendra par après le groupe H2SO4 !
Auto-didactes le quatuor s’installe pour répéter non loin du canal dans une ancienne usine aménagée en locaux de répétition avec pour voisin “Sixty Nine” ou encore “Channel Zero.
Le line up est alors constitué de Thami A. au chant et à la guitare rythmique, Mustapha A. (dit Mouss) à la guitare solo et son frère Mohsine A. (dit Yakizen) à la Basse et André LO à la batterie.
le groupe compose ses premières chansons sur des riff Rock/Metal et pour Thami le chanteur qui écrit tous les textes et co-compose avec Mous la musique, cette activité est avant tout un exutoire de son mal-être d’adolescent, doublé d’un mal-être dû à son statut d’étranger alors qu’il est né à Bruxelles où il se considère chez lui ce qui n’est pas le cas pour la société de l’époque.
La musique du groupe évolue au gré du jeu de ses membres totalisant eu milieux des années 90 environ 15 titres sur un rock/Metal musclé avec des textes engagés politiquement. Les chansons sont en français, en anglais et en arabe.
Une série de concerts ont également lieu au cours des années 90 dans Bruxelles dans de petits festival tels que " Bruxelles en couleurs"
L’équipe de l’émission Simbad présentée par Khiti Benhachem réalise avec Mehrdad taghian pour la RTBF un reportage en 97 sur le groupe que l’on peut voir sur you tube.
Début des années 2000, ne trouvant pas de producteur, le groupe s’essouffle et plusieurs membres du groupe se marient, le chanteur part vivre en France dans le Limousin et le groupe est alors en 2003 rangé au placard !
En 2007 suite à un concert one-shot en France dans la salle polyvalente de Guéret dans la Creuse le groupe se reforme et prends ses quartiers dans les caves de l’église Saint Vincent de Paul à Anderlecht et change de nom d’en la foulée pour devenir SATAMATA (qui se prononce chatamata) et désigne en dialecte marocain « les femmes qui portent la culotte ».
SATAMATA décide de recommencer à zéro et sa musique évolue très vite vers un rock/Metal plus policé, plus mûr et plus abouti.
Mouss a pris en charge la majeure partie des nouvelles compositions musicales du groupe ainsi que la partie technique des enregistrements studio de SATAMATA, tandis que Thami s’est chargé des arrangements et de l’écriture des paroles en français, anglais et arabe abordant des thèmes divers tels que sur le titre en anglais « Revolution » écrit courant 2011 en lien avec le printemps arabe et dont un clip vidéo circule sur you tube.
Le groupe qui n’a toujours pas de producteur, décide de plancher sur un triple album avec les même chansons mais dans les trois langues avec lesquels il a l’habitude de chanter. Le projet artistique est ambitieux pour ne pas dire titanesque, les 10 titres en anglais comme “Only the strong survive” et les 10 titres en français dont le “Jamais Vaincu” sont bouclés dans un délais raisonnable tandis que les 10 titres version en langue arabe tardent à se boucler et prennent du temps qui se chiffre en années !
Entre temps l’église Saint Vincent de Paul située chaussée de Ninove est cédée à la région flamande qui en fait une école secondaire ce qui a pour conséquence que le groupe perd au plus mauvais moment son studio de répétition.
Par chance une grosse partie des compositions de SATAMATA sont sauvées, enregistrées et feront l’objet d’un album auto-poduit avec un mixe du projet initial de triple album et devrait voir le jour avant fin 2024 avec pour titre de l’album “Jamais Vaincu”.
C’est dans la foulée du succès suscité début des années 80 par AC/DC, TRUST et la vague Metal dans sa diversité que c’est la révélation pour 4 adolescents de l’institut Imelda de Molenbeek- Saint- jean dont 3 belgo-marocains issus d’une même famille et leur pote sicilien qui décident de fonder à Molenbeek le groupe Rock/Metal SEM (poison en arabe) et qui deviendra par après le groupe H2SO4 !
Auto-didactes le quatuor s’installe pour répéter non loin du canal dans une ancienne usine aménagée en locaux de répétition avec pour voisin “Sixty Nine” ou encore “Channel Zero.
Le line up est alors constitué de Thami A. au chant et à la guitare rythmique, Mustapha A. (dit Mouss) à la guitare solo et son frère Mohsine A. (dit Yakizen) à la Basse et André LO à la batterie.
le groupe compose ses premières chansons sur des riff Rock/Metal et pour Thami le chanteur qui écrit tous les textes et co-compose avec Mous la musique, cette activité est avant tout un exutoire de son mal-être d’adolescent, doublé d’un mal-être dû à son statut d’étranger alors qu’il est né à Bruxelles où il se considère chez lui ce qui n’est pas le cas pour la société de l’époque.
La musique du groupe évolue au gré du jeu de ses membres totalisant eu milieux des années 90 environ 15 titres sur un rock/Metal musclé avec des textes engagés politiquement. Les chansons sont en français, en anglais et en arabe.
Une série de concerts ont également lieu au cours des années 90 dans Bruxelles dans de petits festival tels que " Bruxelles en couleurs"
L’équipe de l’émission Simbad présentée par Khiti Benhachem réalise avec Mehrdad taghian pour la RTBF un reportage en 97 sur le groupe que l’on peut voir sur you tube.
Début des années 2000, ne trouvant pas de producteur, le groupe s’essouffle et plusieurs membres du groupe se marient, le chanteur part vivre en France dans le Limousin et le groupe est alors en 2003 rangé au placard !
En 2007 suite à un concert one-shot en France dans la salle polyvalente de Guéret dans la Creuse le groupe se reforme et prends ses quartiers dans les caves de l’église Saint Vincent de Paul à Anderlecht et change de nom d’en la foulée pour devenir SATAMATA (qui se prononce chatamata) et désigne en dialecte marocain « les femmes qui portent la culotte ».
SATAMATA décide de recommencer à zéro et sa musique évolue très vite vers un rock/Metal plus policé, plus mûr et plus abouti.
Mouss a pris en charge la majeure partie des nouvelles compositions musicales du groupe ainsi que la partie technique des enregistrements studio de SATAMATA, tandis que Thami s’est chargé des arrangements et de l’écriture des paroles en français, anglais et arabe abordant des thèmes divers tels que sur le titre en anglais « Revolution » écrit courant 2011 en lien avec le printemps arabe et dont un clip vidéo circule sur you tube.
Le groupe qui n’a toujours pas de producteur, décide de plancher sur un triple album avec les même chansons mais dans les trois langues avec lesquels il a l’habitude de chanter. Le projet artistique est ambitieux pour ne pas dire titanesque, les 10 titres en anglais comme “Only the strong survive” et les 10 titres en français dont le “Jamais Vaincu” sont bouclés dans un délais raisonnable tandis que les 10 titres version en langue arabe tardent à se boucler et prennent du temps qui se chiffre en années !
Entre temps l’église Saint Vincent de Paul située chaussée de Ninove est cédée à la région flamande qui en fait une école secondaire ce qui a pour conséquence que le groupe perd au plus mauvais moment son studio de répétition.
Par chance une grosse partie des compositions de SATAMATA sont sauvées, enregistrées et feront l’objet d’un album auto-poduit avec un mixe du projet initial de triple album et devrait voir le jour avant fin 2024 avec pour titre de l’album “Jamais Vaincu”.
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