SAOUTA

Biographie

Un oud, un saxophone soprano, une contrebasse et un dohola : quatre voix s’entrelacent, dialoguent à travers leurs couleurs et leurs intonations.
L’univers de SAOUTA, nourri de musiques arabes et de jazz, est une ode au voyage, à l’instant, au souffle qui passe.

Présentation

SAOUTA est né d’une rencontre au Conservatoire royal de Bruxelles entre Damien Brassart (saxophone soprano) et Akram Ben Romdhane (Oud). Très vite, leur dialogue a appelé d’autres couleurs, c’est ainsi que Jim Monneau (contrebasse) et Simon Leleux (percussions) sont venus élargir le champ des possibles.
Le quartet SAOUTA réunit le oud, le saxophone soprano, la contrebasse et les percussions. Cette combinaison instrumentale permet au groupe de croiser des influences issues des musiques arabes, méditerranéennes et du jazz, et de développer une identité sonore ancrée dans le dialogue entre traditions et création actuelle.
Les compositions sont construites comme des espaces ouverts. Elles proposent un cadre clair dans lequel l’improvisation occupe une place centrale. L’équilibre entre écriture et spontanéité permet aux quatre musiciens de développer un jeu collectif où chaque instrument trouve naturellement sa place.
Dans SAOUTA, les rôles ne sont pas hiérarchisés : chaque instrument intervient comme une voix à part entière. Le fonctionnement du groupe repose sur l’écoute, l’attention au moment présent et l’échange constant entre les musiciens, mais aussi avec le public. Chaque concert devient ainsi une expérience partagée, où la musique se façonne en direct.
Le nouveau répertoire, Traces, est un tissage de mémoires. Une traversée des héritages conscients et inconscients qui nous habitent — gestes, voix, silences, histoires transmises, effacées ou transformées. Chaque composition est un écho, un fragment de ce qui continue de vibrer en nous : joies, luttes, rêves, blessures. Ce que celles et ceux qui nous ont précédés ont laissé dans nos corps, dans nos façons de marcher, de parler, d’aimer ou de résister.
SAOUTA explore ainsi l’intersection entre Orient et Occident, entre écriture et improvisation, entre héritages multiples et expression contemporaine. Une musique en dialogue permanent, une cartographie sensible en perpétuelle réinvention.

Note d’intention – Traces

Ce nouveau répertoire est un tissage de mémoires.
Une traversée des héritages conscients et inconscients qui nous habitent : gestes, voix, silences, histoires transmises, effacées ou transformées.
Chaque composition est un écho, un fragment de ce qui continue de vibrer en nous — joies, luttes, rêves, blessures.
Ce que celles et ceux qui nous ont précédés ont laissé dans nos corps, nos façons de dire, de marcher, d’aimer ou de résister.
En quartet, cette exploration prend une ampleur nouvelle.
La contrebasse porte le poids et la chaleur des strates profondes, comme une mémoire souterraine.
Les percussions ouvrent le chemin, appellent le mouvement, réveillent les gestes anciens.
L’oud et le saxophone dessinent les voix, les échos, les lignes qui relient.
À travers ces quatre timbres entremêlés, SAOUTA rend hommage aux présences invisibles, aux ancêtres intimes ou lointains, aux traces qui nous sculptent.
La musique devient rituel, souffle, marche intérieure :
une manière de dire « je te reconnais en moi », qu’il s’agisse d’un héritage à porter avec fierté ou d’un poids à transformer.
SAOUTA invite à écouter avec tout le corps.
À accueillir ce qui remonte.
Et peut-être, à faire la paix avec ce que l’on croyait trop ancien pour continuer à nous parler.

Biographies

Akram ben Romdhane
Akram Ben Romdhane est un violoniste, oudiste et compositeur tunisien installé en Belgique. Artiste aux multiples facettes, il développe une démarche musicale singulière où se rencontrent les traditions orientales, la musique classique occidentale, le jazz et les musiques contemporaines.
Formé en Tunisie au violon, au oud et à la musicologie, il obtient plusieurs diplômes avant de poursuivre ses études en Europe. À Paris, il intègre le Conservatoire de Créteil dans la classe de Thierry Huchin et y décroche un DEM de violon. Il se perfectionne ensuite auprès de maîtres tels qu’Alexis Galperine, Dong-Suk Kang et Anna Haas, et achève un Master de violon au Conservatoire royal de Bruxelles sous la direction de Véronique Bogaerts. Parallèlement, il mène des recherches universitaires sur la pratique violonistique des XVIIIᵉ et XIXᵉ siècles.
Sur scène, Akram multiplie les expériences et les collaborations : membre d’ensembles comme Aleph Quintet, Saouta, Shams ou Tempus, il est également invité par l’Ensemble Orchestral de Tunisie, l’Opéra de Tunisie et l’Orchestre Symphonique Tunisien. Ses projets le conduisent à se produire en Europe, aux États-Unis, en Chine, en Afrique du Nord, et dans de nombreux festivals internationaux (Aix-en-Provence, El Jem, Carthage, Journées Musicales de Carthage…).
Aujourd’hui, Akram Ben Romdhane poursuit une quête musicale qui s’appuie sur ses racines tunisiennes et ses influences occidentales pour créer une esthétique hybride et contemporaine. Ses compositions, souvent conçues comme des voyages sonores, révèlent un univers riche en contrastes, entre tradition et modernité, lyrisme et expérimentation.


Damien Brassart

Après des études en anthropologie et en musicothérapie, nourries par un profond intérêt pour les états modifiés de conscience et le pouvoir du son dans différentes cultures, Damien Brassart intègre le Conservatoire Royal de Bruxelles pour se consacrer au jazz et à l’improvisation. Il y étudie notamment auprès de Fabrice Alleman et Manuel Hermia, et obtient son diplôme de master en 2022.
L’année suivante, son travail artistique est récompensé par une bourse de la
Fondation Mathilde Horlait Dapsens.
Musicien curieux et transversal, Damien évolue au croisement des arts, multipliant les collaborations avec des artistes issus de la musique, de la danse, du théâtre et des arts visuels. Il partage la scène avec des musiciens tels que Akram Ben Romdhane, Joël Rabesolo, Simon Leleux, Mingo Rajandi, Benjamin Sauzereau, Josaphat Hounnou, Jim Monneau et Diogo Alexandre, et collabore avec des artistes comme Guillaume Lebelle, Satoru Toma, Célia Rorive, Gilles Pollet, Alexandra Swenden, Manuela Rastaldi et Samuel Planas.
En 2022, il signe son premier album, "Ode to Travel », avec le projet SAOUTA, sorti chez Homerecords. L’album est chaleureusement accueilli par la critique pour sa richesse et son univers poétique singulier, recevant notamment 4 étoiles dans Le MAD (Le Soir) et des éloges dans L’Écho, Jazzman et The Moors Magazine.
Suite à cette reconnaissance, Damien Brassart est invité sur les ondes de la RTBF, dans l’émission Le Monde est un Village de Didier Mélon, ainsi que sur Musiq3, où il évoque son univers artistique dans l’émission Jazz de Philippe Baron.
En 2024, Damien crée avec la danseuse Célia Rorive le collectif M£AL, créant des ponts entre l’art chorégraphique et le jazz. Le M£al collectif est soutenu et accueilli en résidence à la Jazz Station de Bruxelles de 2024 à 2026. Cette même année, Damien a la chance de rencontrer Théo Zipper et le Collectif Thöz. De cette rencontre va naître l’album « Rivières », avec Jim Monneau (contrebasse) et Diogo Alexandre (batterie), qui est sorti le 21 février 2025: « Rivières » est une immersion sonore dans les flux intérieurs qui nous traversent. Avec « Érosion », « Déluge », « Mémoires du Nil », etc., cet album est une ode à nos rivières intérieures bien souvent oubliées. Un album avec son duo Nàmàkàlà (Joel rabesolo) sortira chez Homerecords en 2026. Le deuxième album de SAOUTA est en préparation.
Aujourd’hui, il poursuit son chemin musical avec une approche où l’instantanéité, l’expérimentation et la recherche sonore tiennent une place centrale.

Jim Monneau
Jim entre dans la musique à 13 ans avec la basse électrique. Il sera jusqu'à ses 18 ans au Conservatoire de Cahors, où il apprend les bases de la technique Classique à l'archet et les fondements du Jazz. Sa 1ère année de Musicologie se fait à Bordeaux, où il continue en parallèle des cours de contrebasse classique au C.R.R de Bordeaux. C'est durant de cette année qu'il prend conscience de la nécessité pour lui de se consacrer entièrement à une musique plus actuelle, plus jazz. De 2013 à 2016, Jim s'installe à Toulouse. Il finit sa licence de Musicologie Jazz à Toulouse le Mirail, ainsi que son DEM jazz au C.R.R. De Montauban.

Après une année d'Erasmus en 1ère année de Master en Musicologie à Barcelone à l’École supérieure de Musique de Catalogne (ESMuC), Jim approfondie de 2016 à 2017 ses connaissances du Jazz au Conservatoire Royal de Bruxelles avec Jean Louis Rassinfosse comme tuteur. De 2017 à 2020, il vit à Barcelone comme musicien professionnel. Cependant il se déplace souvent à l'étranger pour des projets comme Mescladis, dernière création du saxophoniste Jean Marc Padovani, en France, et Llum Trio, son projet personnel, en Belgique. Avec ce dernier, Jim Monneau remporte le prix du meilleur soliste lors du concours JazzContest Mechelen 2019 ainsi que le 1er Prix au concours David Ostromooukhov en 2022. Suite à la crise du COVID et ses conséquences désastreuses sur le secteur culturel, Jim se réinstalle à Bruxelles en 2020 pour achever le Master en Contrebasse Jazz.

Simon leleux

Spécialisé en percussions arabes et du Moyen-Orient, Simon Leleux débute la musique avec ce qui reste son instrument de prédilection : la darbuka. Cet instrument, en forme de gobelet, dont les traditions s’y rattachant diffèrent autant que les modes de jeu raffinés s’y rapportant, est à l’origine de son intérêt pour un bon nombre de percussions. Parmi celles-ci, le tombak, les tablas indiens, les « frame drums », le riqq et le cajon en sont quelques-uns.
Formé avec des maitres tel que Zohar Fresco, Ahmet Misirli, Pedram Khavarzamini, Madjid Khaladj, Niti Ranjan Biswas, Azzedine Jazouli, il se concentre depuis 2014 sur l'étude du doholla avec le maitre à l'origine de nombreuses innovations sur cet instrument : Levent Yildirim.
Simon a eu le privilège de partager la scène avec des personnalités musicales et des projets extrêmement variés, en allant de la musique orientale avec Ghalia Benali à la musique baroque avec « Les Menus Plaisirs du Roy », en passant par la chanson berbère avec Khalid Izri, la musique ottomane avec Lâmekân Ensemble et Kudsi Erguner (Ottoman Drums), le folk avec Onirim & the Machine et Orbál, la musique des balkans avec le Karsilama Quintet, la world avec Emre Gültekin/Vardan hovanissian et le projet Refugees for Refugees, le jazz fusion avec Michel Massot et les Surprises du Chef, la chanson française avec Claire Spineux, le rock avec Kazmath...
Outre son activité de musicien freelance, Simon se produit régulièrement avec les ensembles suivants : Hands in Motion, Auster Loo, Maysan Trio, Daems/Leleux/Qzilbash, Refugees for refugees, Recrues D'essences, Mediterranean Quartet, Oriental Jazz Project, Lâmekân Ensemble, Leleux/Goodale/Khoshravesh, Seyir trio, …
Diplomé du conservatoire de Namur (I.M.E.P.) en pédagogie en 2013 ainsi que du conservatoire de Rotterdam (Master of Music - Codarts) en percussions turques et indiennes en 2015, il enseigne aujourd'hui au sein de l'organisation Bruxelloise axée sur la musique du monde « MuziekPublique », ainsi que dans l'académie Franz Constant (Auderghem Bruxelles), et l'académie Jean-Absil (Etterbeek).
  • Jazz
  • World Music
  • Bruxelles

Contacts et médias

Retrouvez ici les plateformes sur lesquelles l'artiste est présent·e

Concerts passés

04
.06
GUINGETTE

Little Musgrave + SAOUTA + Eclats

Maison des Arts de Schaerbeek - Schaerbeek

Vidéos

Galerie de l'artiste

Biographie

Un oud, un saxophone soprano, une contrebasse et un dohola : quatre voix s’entrelacent, dialoguent à travers leurs couleurs et leurs intonations.
L’univers de SAOUTA, nourri de musiques arabes et de jazz, est une ode au voyage, à l’instant, au souffle qui passe.

Présentation

SAOUTA est né d’une rencontre au Conservatoire royal de Bruxelles entre Damien Brassart (saxophone soprano) et Akram Ben Romdhane (Oud). Très vite, leur dialogue a appelé d’autres couleurs, c’est ainsi que Jim Monneau (contrebasse) et Simon Leleux (percussions) sont venus élargir le champ des possibles.
Le quartet SAOUTA réunit le oud, le saxophone soprano, la contrebasse et les percussions. Cette combinaison instrumentale permet au groupe de croiser des influences issues des musiques arabes, méditerranéennes et du jazz, et de développer une identité sonore ancrée dans le dialogue entre traditions et création actuelle.
Les compositions sont construites comme des espaces ouverts. Elles proposent un cadre clair dans lequel l’improvisation occupe une place centrale. L’équilibre entre écriture et spontanéité permet aux quatre musiciens de développer un jeu collectif où chaque instrument trouve naturellement sa place.
Dans SAOUTA, les rôles ne sont pas hiérarchisés : chaque instrument intervient comme une voix à part entière. Le fonctionnement du groupe repose sur l’écoute, l’attention au moment présent et l’échange constant entre les musiciens, mais aussi avec le public. Chaque concert devient ainsi une expérience partagée, où la musique se façonne en direct.
Le nouveau répertoire, Traces, est un tissage de mémoires. Une traversée des héritages conscients et inconscients qui nous habitent — gestes, voix, silences, histoires transmises, effacées ou transformées. Chaque composition est un écho, un fragment de ce qui continue de vibrer en nous : joies, luttes, rêves, blessures. Ce que celles et ceux qui nous ont précédés ont laissé dans nos corps, dans nos façons de marcher, de parler, d’aimer ou de résister.
SAOUTA explore ainsi l’intersection entre Orient et Occident, entre écriture et improvisation, entre héritages multiples et expression contemporaine. Une musique en dialogue permanent, une cartographie sensible en perpétuelle réinvention.

Note d’intention – Traces

Ce nouveau répertoire est un tissage de mémoires.
Une traversée des héritages conscients et inconscients qui nous habitent : gestes, voix, silences, histoires transmises, effacées ou transformées.
Chaque composition est un écho, un fragment de ce qui continue de vibrer en nous — joies, luttes, rêves, blessures.
Ce que celles et ceux qui nous ont précédés ont laissé dans nos corps, nos façons de dire, de marcher, d’aimer ou de résister.
En quartet, cette exploration prend une ampleur nouvelle.
La contrebasse porte le poids et la chaleur des strates profondes, comme une mémoire souterraine.
Les percussions ouvrent le chemin, appellent le mouvement, réveillent les gestes anciens.
L’oud et le saxophone dessinent les voix, les échos, les lignes qui relient.
À travers ces quatre timbres entremêlés, SAOUTA rend hommage aux présences invisibles, aux ancêtres intimes ou lointains, aux traces qui nous sculptent.
La musique devient rituel, souffle, marche intérieure :
une manière de dire « je te reconnais en moi », qu’il s’agisse d’un héritage à porter avec fierté ou d’un poids à transformer.
SAOUTA invite à écouter avec tout le corps.
À accueillir ce qui remonte.
Et peut-être, à faire la paix avec ce que l’on croyait trop ancien pour continuer à nous parler.

Biographies

Akram ben Romdhane
Akram Ben Romdhane est un violoniste, oudiste et compositeur tunisien installé en Belgique. Artiste aux multiples facettes, il développe une démarche musicale singulière où se rencontrent les traditions orientales, la musique classique occidentale, le jazz et les musiques contemporaines.
Formé en Tunisie au violon, au oud et à la musicologie, il obtient plusieurs diplômes avant de poursuivre ses études en Europe. À Paris, il intègre le Conservatoire de Créteil dans la classe de Thierry Huchin et y décroche un DEM de violon. Il se perfectionne ensuite auprès de maîtres tels qu’Alexis Galperine, Dong-Suk Kang et Anna Haas, et achève un Master de violon au Conservatoire royal de Bruxelles sous la direction de Véronique Bogaerts. Parallèlement, il mène des recherches universitaires sur la pratique violonistique des XVIIIᵉ et XIXᵉ siècles.
Sur scène, Akram multiplie les expériences et les collaborations : membre d’ensembles comme Aleph Quintet, Saouta, Shams ou Tempus, il est également invité par l’Ensemble Orchestral de Tunisie, l’Opéra de Tunisie et l’Orchestre Symphonique Tunisien. Ses projets le conduisent à se produire en Europe, aux États-Unis, en Chine, en Afrique du Nord, et dans de nombreux festivals internationaux (Aix-en-Provence, El Jem, Carthage, Journées Musicales de Carthage…).
Aujourd’hui, Akram Ben Romdhane poursuit une quête musicale qui s’appuie sur ses racines tunisiennes et ses influences occidentales pour créer une esthétique hybride et contemporaine. Ses compositions, souvent conçues comme des voyages sonores, révèlent un univers riche en contrastes, entre tradition et modernité, lyrisme et expérimentation.


Damien Brassart

Après des études en anthropologie et en musicothérapie, nourries par un profond intérêt pour les états modifiés de conscience et le pouvoir du son dans différentes cultures, Damien Brassart intègre le Conservatoire Royal de Bruxelles pour se consacrer au jazz et à l’improvisation. Il y étudie notamment auprès de Fabrice Alleman et Manuel Hermia, et obtient son diplôme de master en 2022.
L’année suivante, son travail artistique est récompensé par une bourse de la
Fondation Mathilde Horlait Dapsens.
Musicien curieux et transversal, Damien évolue au croisement des arts, multipliant les collaborations avec des artistes issus de la musique, de la danse, du théâtre et des arts visuels. Il partage la scène avec des musiciens tels que Akram Ben Romdhane, Joël Rabesolo, Simon Leleux, Mingo Rajandi, Benjamin Sauzereau, Josaphat Hounnou, Jim Monneau et Diogo Alexandre, et collabore avec des artistes comme Guillaume Lebelle, Satoru Toma, Célia Rorive, Gilles Pollet, Alexandra Swenden, Manuela Rastaldi et Samuel Planas.
En 2022, il signe son premier album, "Ode to Travel », avec le projet SAOUTA, sorti chez Homerecords. L’album est chaleureusement accueilli par la critique pour sa richesse et son univers poétique singulier, recevant notamment 4 étoiles dans Le MAD (Le Soir) et des éloges dans L’Écho, Jazzman et The Moors Magazine.
Suite à cette reconnaissance, Damien Brassart est invité sur les ondes de la RTBF, dans l’émission Le Monde est un Village de Didier Mélon, ainsi que sur Musiq3, où il évoque son univers artistique dans l’émission Jazz de Philippe Baron.
En 2024, Damien crée avec la danseuse Célia Rorive le collectif M£AL, créant des ponts entre l’art chorégraphique et le jazz. Le M£al collectif est soutenu et accueilli en résidence à la Jazz Station de Bruxelles de 2024 à 2026. Cette même année, Damien a la chance de rencontrer Théo Zipper et le Collectif Thöz. De cette rencontre va naître l’album « Rivières », avec Jim Monneau (contrebasse) et Diogo Alexandre (batterie), qui est sorti le 21 février 2025: « Rivières » est une immersion sonore dans les flux intérieurs qui nous traversent. Avec « Érosion », « Déluge », « Mémoires du Nil », etc., cet album est une ode à nos rivières intérieures bien souvent oubliées. Un album avec son duo Nàmàkàlà (Joel rabesolo) sortira chez Homerecords en 2026. Le deuxième album de SAOUTA est en préparation.
Aujourd’hui, il poursuit son chemin musical avec une approche où l’instantanéité, l’expérimentation et la recherche sonore tiennent une place centrale.

Jim Monneau
Jim entre dans la musique à 13 ans avec la basse électrique. Il sera jusqu'à ses 18 ans au Conservatoire de Cahors, où il apprend les bases de la technique Classique à l'archet et les fondements du Jazz. Sa 1ère année de Musicologie se fait à Bordeaux, où il continue en parallèle des cours de contrebasse classique au C.R.R de Bordeaux. C'est durant de cette année qu'il prend conscience de la nécessité pour lui de se consacrer entièrement à une musique plus actuelle, plus jazz. De 2013 à 2016, Jim s'installe à Toulouse. Il finit sa licence de Musicologie Jazz à Toulouse le Mirail, ainsi que son DEM jazz au C.R.R. De Montauban.

Après une année d'Erasmus en 1ère année de Master en Musicologie à Barcelone à l’École supérieure de Musique de Catalogne (ESMuC), Jim approfondie de 2016 à 2017 ses connaissances du Jazz au Conservatoire Royal de Bruxelles avec Jean Louis Rassinfosse comme tuteur. De 2017 à 2020, il vit à Barcelone comme musicien professionnel. Cependant il se déplace souvent à l'étranger pour des projets comme Mescladis, dernière création du saxophoniste Jean Marc Padovani, en France, et Llum Trio, son projet personnel, en Belgique. Avec ce dernier, Jim Monneau remporte le prix du meilleur soliste lors du concours JazzContest Mechelen 2019 ainsi que le 1er Prix au concours David Ostromooukhov en 2022. Suite à la crise du COVID et ses conséquences désastreuses sur le secteur culturel, Jim se réinstalle à Bruxelles en 2020 pour achever le Master en Contrebasse Jazz.

Simon leleux

Spécialisé en percussions arabes et du Moyen-Orient, Simon Leleux débute la musique avec ce qui reste son instrument de prédilection : la darbuka. Cet instrument, en forme de gobelet, dont les traditions s’y rattachant diffèrent autant que les modes de jeu raffinés s’y rapportant, est à l’origine de son intérêt pour un bon nombre de percussions. Parmi celles-ci, le tombak, les tablas indiens, les « frame drums », le riqq et le cajon en sont quelques-uns.
Formé avec des maitres tel que Zohar Fresco, Ahmet Misirli, Pedram Khavarzamini, Madjid Khaladj, Niti Ranjan Biswas, Azzedine Jazouli, il se concentre depuis 2014 sur l'étude du doholla avec le maitre à l'origine de nombreuses innovations sur cet instrument : Levent Yildirim.
Simon a eu le privilège de partager la scène avec des personnalités musicales et des projets extrêmement variés, en allant de la musique orientale avec Ghalia Benali à la musique baroque avec « Les Menus Plaisirs du Roy », en passant par la chanson berbère avec Khalid Izri, la musique ottomane avec Lâmekân Ensemble et Kudsi Erguner (Ottoman Drums), le folk avec Onirim & the Machine et Orbál, la musique des balkans avec le Karsilama Quintet, la world avec Emre Gültekin/Vardan hovanissian et le projet Refugees for Refugees, le jazz fusion avec Michel Massot et les Surprises du Chef, la chanson française avec Claire Spineux, le rock avec Kazmath...
Outre son activité de musicien freelance, Simon se produit régulièrement avec les ensembles suivants : Hands in Motion, Auster Loo, Maysan Trio, Daems/Leleux/Qzilbash, Refugees for refugees, Recrues D'essences, Mediterranean Quartet, Oriental Jazz Project, Lâmekân Ensemble, Leleux/Goodale/Khoshravesh, Seyir trio, …
Diplomé du conservatoire de Namur (I.M.E.P.) en pédagogie en 2013 ainsi que du conservatoire de Rotterdam (Master of Music - Codarts) en percussions turques et indiennes en 2015, il enseigne aujourd'hui au sein de l'organisation Bruxelloise axée sur la musique du monde « MuziekPublique », ainsi que dans l'académie Franz Constant (Auderghem Bruxelles), et l'académie Jean-Absil (Etterbeek).
  • Jazz
  • World Music
  • Bruxelles

Concerts passés

04
.06
GUINGETTE

Little Musgrave + SAOUTA + Eclats

Maison des Arts de Schaerbeek - Schaerbeek

Vidéos

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Contacts et médias

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