NOAH TATE
Biographie
Noah Tate écrit des chansons comme on écrit des lettres qu’on n’envoie jamais.
Auteur, compositeur et interprète belge, il est revenu en 2025 après huit mois à Melbourne, où il a enchaîné les concerts dans clubs, bars et arrière-salles humides, à la recherche de ce qu’il avait perdu : un peu de foi dans la musique, un peu de foi en lui.
Son premier album Grey House, enregistré seul, presque sans moyens, est un disque brut et fragile à la fois. Huit titres où la honte, le désir, la solitude et la dignité se mélangent dans une voix qui sait murmurer comme hurler.
Ses influences — Cohen, Buckley, Nick Drake, Thom Yorke — se devinent, mais restent à distance : Noah écrit dans sa langue à lui, avec sa colère tranquille et ses silences pesants. Il chante pour ceux qui n’ont jamais vraiment su où se mettre, mais qui n’ont plus envie de s’excuser.
Auteur, compositeur et interprète belge, il est revenu en 2025 après huit mois à Melbourne, où il a enchaîné les concerts dans clubs, bars et arrière-salles humides, à la recherche de ce qu’il avait perdu : un peu de foi dans la musique, un peu de foi en lui.
Son premier album Grey House, enregistré seul, presque sans moyens, est un disque brut et fragile à la fois. Huit titres où la honte, le désir, la solitude et la dignité se mélangent dans une voix qui sait murmurer comme hurler.
Ses influences — Cohen, Buckley, Nick Drake, Thom Yorke — se devinent, mais restent à distance : Noah écrit dans sa langue à lui, avec sa colère tranquille et ses silences pesants. Il chante pour ceux qui n’ont jamais vraiment su où se mettre, mais qui n’ont plus envie de s’excuser.
yobahmanagement (a) gmail.com
Biographie
Noah Tate écrit des chansons comme on écrit des lettres qu’on n’envoie jamais.
Auteur, compositeur et interprète belge, il est revenu en 2025 après huit mois à Melbourne, où il a enchaîné les concerts dans clubs, bars et arrière-salles humides, à la recherche de ce qu’il avait perdu : un peu de foi dans la musique, un peu de foi en lui.
Son premier album Grey House, enregistré seul, presque sans moyens, est un disque brut et fragile à la fois. Huit titres où la honte, le désir, la solitude et la dignité se mélangent dans une voix qui sait murmurer comme hurler.
Ses influences — Cohen, Buckley, Nick Drake, Thom Yorke — se devinent, mais restent à distance : Noah écrit dans sa langue à lui, avec sa colère tranquille et ses silences pesants. Il chante pour ceux qui n’ont jamais vraiment su où se mettre, mais qui n’ont plus envie de s’excuser.
Auteur, compositeur et interprète belge, il est revenu en 2025 après huit mois à Melbourne, où il a enchaîné les concerts dans clubs, bars et arrière-salles humides, à la recherche de ce qu’il avait perdu : un peu de foi dans la musique, un peu de foi en lui.
Son premier album Grey House, enregistré seul, presque sans moyens, est un disque brut et fragile à la fois. Huit titres où la honte, le désir, la solitude et la dignité se mélangent dans une voix qui sait murmurer comme hurler.
Ses influences — Cohen, Buckley, Nick Drake, Thom Yorke — se devinent, mais restent à distance : Noah écrit dans sa langue à lui, avec sa colère tranquille et ses silences pesants. Il chante pour ceux qui n’ont jamais vraiment su où se mettre, mais qui n’ont plus envie de s’excuser.
yobahmanagement (a) gmail.com
Concerts passés
15
.06
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