Least Significant Beat
Biographie
Liège Bastogne Liège, le nouveau disque de consonnes (LSB) est un album de musique électronique sportive en hommage à la doyenne mais pas seulement. C’est un disque qui s’écoute sur rouleaux. Tous les moments ne sont pas agréables (même si beaucoup le sont), certains sont des efforts utiles, d’autres sont intenses et pénibles mais satisfaisant quand ils se terminent.
Ce disque est composé d’un morceau fleuve en ouverture (Liège-Bastogne-Liège) qui raconte le ressenti de course dans sa globalité avec des montées en puissance, des changements de rythmes dans l’effort, des variations d’intensité. Certains moments sont collectifs d’autres sont individuels. La fin du morceau est à la fois une délivrance, une satisfaction et une fierté.
Ce morceau titre est suivi de six morceaux thématiques représentant chacun des efforts différents, des segments, ou des côtes particulières.
Départ de Liège :
- Pas de dénivelé, chacun cherche son rythme et se connecte avec l’équipe. Le but ici est mettre en route sa propre machine et de se décider à l’effort. Le cardio est déterminant. On pose les jalons.
Werbomont :
- C’est la première côte, le cœur s’accélère et se stabilise rapidement, la route est longue mais l’effort est indéniablement au rendez-vous. Son intensité se profile, ça ne va pas être doux.
Vielsalm-Stockeu (cardio) :
- C’est une gestion du cardio dans une course déjà bien avancée, l’effort est stable mais puissant dès le début mais, qu’on le veuille ou non, ça monte et 174 kms ont été parcourus. Le morceau se termine presqu’à stock à Stockeu.
Haute levée :
- La côte de haute Levée n’est agréable pour personne. Elle n’est pas très longue mais elle n’est quasiment que souffrance. Il faut juste la passer. Elle est là de toute façon.
Faucons :
- Une des grandes stars de la course, peut-être la plus grande. Elle se fait attendre, déjà 240 bornes qu’on roule. C’est long, mais il n’y a plus rien après. On décide donc de pousser et garder un rythme soutenu. Le tout petit répits d’Avister ne se remarque presque pas tellement tout est poussé au maximum. Parfois le champ de vision se brouille un peu, parfois on voit tout en mauve, parfois des petites étoiles apparaissent (pour finir ce sera tout en même temps). Il n’y a plus rien après.
Ligne d’arrivée :
- À ce moment de la course, on sait qu’on terminera et c’est un premier émoi. Très vite, la descente du sart Tilman donne la vitesse au morceau, et puis le monde est là et, jusqu’à la ligne d’arrivée, la vitesse sera ancrée dans le plaisir et la fierté. Une fois la ligne passée, on ne descend pas pour autant du vélo, mais le temps est différent. Il faut un moment pour terminer 260 kilomètres de course à vélo.
Ce disque est une bande son puisant des influences électroniques très diversifiées moderat -> pansonic et du drone
Ce disque est composé d’un morceau fleuve en ouverture (Liège-Bastogne-Liège) qui raconte le ressenti de course dans sa globalité avec des montées en puissance, des changements de rythmes dans l’effort, des variations d’intensité. Certains moments sont collectifs d’autres sont individuels. La fin du morceau est à la fois une délivrance, une satisfaction et une fierté.
Ce morceau titre est suivi de six morceaux thématiques représentant chacun des efforts différents, des segments, ou des côtes particulières.
Départ de Liège :
- Pas de dénivelé, chacun cherche son rythme et se connecte avec l’équipe. Le but ici est mettre en route sa propre machine et de se décider à l’effort. Le cardio est déterminant. On pose les jalons.
Werbomont :
- C’est la première côte, le cœur s’accélère et se stabilise rapidement, la route est longue mais l’effort est indéniablement au rendez-vous. Son intensité se profile, ça ne va pas être doux.
Vielsalm-Stockeu (cardio) :
- C’est une gestion du cardio dans une course déjà bien avancée, l’effort est stable mais puissant dès le début mais, qu’on le veuille ou non, ça monte et 174 kms ont été parcourus. Le morceau se termine presqu’à stock à Stockeu.
Haute levée :
- La côte de haute Levée n’est agréable pour personne. Elle n’est pas très longue mais elle n’est quasiment que souffrance. Il faut juste la passer. Elle est là de toute façon.
Faucons :
- Une des grandes stars de la course, peut-être la plus grande. Elle se fait attendre, déjà 240 bornes qu’on roule. C’est long, mais il n’y a plus rien après. On décide donc de pousser et garder un rythme soutenu. Le tout petit répits d’Avister ne se remarque presque pas tellement tout est poussé au maximum. Parfois le champ de vision se brouille un peu, parfois on voit tout en mauve, parfois des petites étoiles apparaissent (pour finir ce sera tout en même temps). Il n’y a plus rien après.
Ligne d’arrivée :
- À ce moment de la course, on sait qu’on terminera et c’est un premier émoi. Très vite, la descente du sart Tilman donne la vitesse au morceau, et puis le monde est là et, jusqu’à la ligne d’arrivée, la vitesse sera ancrée dans le plaisir et la fierté. Une fois la ligne passée, on ne descend pas pour autant du vélo, mais le temps est différent. Il faut un moment pour terminer 260 kilomètres de course à vélo.
Ce disque est une bande son puisant des influences électroniques très diversifiées moderat -> pansonic et du drone
leseba (a) gmail.com
Biographie
Liège Bastogne Liège, le nouveau disque de consonnes (LSB) est un album de musique électronique sportive en hommage à la doyenne mais pas seulement. C’est un disque qui s’écoute sur rouleaux. Tous les moments ne sont pas agréables (même si beaucoup le sont), certains sont des efforts utiles, d’autres sont intenses et pénibles mais satisfaisant quand ils se terminent.
Ce disque est composé d’un morceau fleuve en ouverture (Liège-Bastogne-Liège) qui raconte le ressenti de course dans sa globalité avec des montées en puissance, des changements de rythmes dans l’effort, des variations d’intensité. Certains moments sont collectifs d’autres sont individuels. La fin du morceau est à la fois une délivrance, une satisfaction et une fierté.
Ce morceau titre est suivi de six morceaux thématiques représentant chacun des efforts différents, des segments, ou des côtes particulières.
Départ de Liège :
- Pas de dénivelé, chacun cherche son rythme et se connecte avec l’équipe. Le but ici est mettre en route sa propre machine et de se décider à l’effort. Le cardio est déterminant. On pose les jalons.
Werbomont :
- C’est la première côte, le cœur s’accélère et se stabilise rapidement, la route est longue mais l’effort est indéniablement au rendez-vous. Son intensité se profile, ça ne va pas être doux.
Vielsalm-Stockeu (cardio) :
- C’est une gestion du cardio dans une course déjà bien avancée, l’effort est stable mais puissant dès le début mais, qu’on le veuille ou non, ça monte et 174 kms ont été parcourus. Le morceau se termine presqu’à stock à Stockeu.
Haute levée :
- La côte de haute Levée n’est agréable pour personne. Elle n’est pas très longue mais elle n’est quasiment que souffrance. Il faut juste la passer. Elle est là de toute façon.
Faucons :
- Une des grandes stars de la course, peut-être la plus grande. Elle se fait attendre, déjà 240 bornes qu’on roule. C’est long, mais il n’y a plus rien après. On décide donc de pousser et garder un rythme soutenu. Le tout petit répits d’Avister ne se remarque presque pas tellement tout est poussé au maximum. Parfois le champ de vision se brouille un peu, parfois on voit tout en mauve, parfois des petites étoiles apparaissent (pour finir ce sera tout en même temps). Il n’y a plus rien après.
Ligne d’arrivée :
- À ce moment de la course, on sait qu’on terminera et c’est un premier émoi. Très vite, la descente du sart Tilman donne la vitesse au morceau, et puis le monde est là et, jusqu’à la ligne d’arrivée, la vitesse sera ancrée dans le plaisir et la fierté. Une fois la ligne passée, on ne descend pas pour autant du vélo, mais le temps est différent. Il faut un moment pour terminer 260 kilomètres de course à vélo.
Ce disque est une bande son puisant des influences électroniques très diversifiées moderat -> pansonic et du drone
Ce disque est composé d’un morceau fleuve en ouverture (Liège-Bastogne-Liège) qui raconte le ressenti de course dans sa globalité avec des montées en puissance, des changements de rythmes dans l’effort, des variations d’intensité. Certains moments sont collectifs d’autres sont individuels. La fin du morceau est à la fois une délivrance, une satisfaction et une fierté.
Ce morceau titre est suivi de six morceaux thématiques représentant chacun des efforts différents, des segments, ou des côtes particulières.
Départ de Liège :
- Pas de dénivelé, chacun cherche son rythme et se connecte avec l’équipe. Le but ici est mettre en route sa propre machine et de se décider à l’effort. Le cardio est déterminant. On pose les jalons.
Werbomont :
- C’est la première côte, le cœur s’accélère et se stabilise rapidement, la route est longue mais l’effort est indéniablement au rendez-vous. Son intensité se profile, ça ne va pas être doux.
Vielsalm-Stockeu (cardio) :
- C’est une gestion du cardio dans une course déjà bien avancée, l’effort est stable mais puissant dès le début mais, qu’on le veuille ou non, ça monte et 174 kms ont été parcourus. Le morceau se termine presqu’à stock à Stockeu.
Haute levée :
- La côte de haute Levée n’est agréable pour personne. Elle n’est pas très longue mais elle n’est quasiment que souffrance. Il faut juste la passer. Elle est là de toute façon.
Faucons :
- Une des grandes stars de la course, peut-être la plus grande. Elle se fait attendre, déjà 240 bornes qu’on roule. C’est long, mais il n’y a plus rien après. On décide donc de pousser et garder un rythme soutenu. Le tout petit répits d’Avister ne se remarque presque pas tellement tout est poussé au maximum. Parfois le champ de vision se brouille un peu, parfois on voit tout en mauve, parfois des petites étoiles apparaissent (pour finir ce sera tout en même temps). Il n’y a plus rien après.
Ligne d’arrivée :
- À ce moment de la course, on sait qu’on terminera et c’est un premier émoi. Très vite, la descente du sart Tilman donne la vitesse au morceau, et puis le monde est là et, jusqu’à la ligne d’arrivée, la vitesse sera ancrée dans le plaisir et la fierté. Une fois la ligne passée, on ne descend pas pour autant du vélo, mais le temps est différent. Il faut un moment pour terminer 260 kilomètres de course à vélo.
Ce disque est une bande son puisant des influences électroniques très diversifiées moderat -> pansonic et du drone
leseba (a) gmail.com