Innocnt

Biographie

Antoine Innocent a grandi au sein d’un foyer cosmopolite : d’un côté, sa mère, première née en France d’une famille roumaine ; de l’autre, son père, originaire d’Haïti, qu’il a quittée à l’âge de 20 ans pour tenter sa chance comme chanteur aux États-Unis.
Jusqu’à l’adolescence, Antoine suit son père en tournée, se familiarisant avec les scènes et les coulisses. Humble et néanmoins exigeant, son père l’invite même à partager le micro avec lui sur scène.
Après un passage à Ottawa, pour être plus proche de l’activité de son père, sa mère choisit finalement de s’installer à Bruxelles, qui devient la ville de cœur d’Antoine. Là, il s’essaye à la comédie musicale et chante au lycée, souvent aux côtés de sa sœur. Mais il le sait : la musique, bien qu’omniprésente, n’est pas innée. « Elle est aussi le fruit de beaucoup de travail », confie-t-il.
Dans un minuscule home studio ressemblant à une cave, Antoine se lance des défis : apprendre à placer sa voix dans le micro, à s’accompagner à la guitare, à écrire des chansons, tout en poursuivant ses études. Alors qu’il est prêt à se consacrer entièrement à son art, la pandémie survient. Face à une culture devenue « non essentielle » et des doutes personnels, il hésite. Pourtant, l’appel de la musique finit par être plus fort.

Mentoré depuis ses 14 ans par le co-fondateur de PIAS, Michel Lambot, il rencontre à cette
époque le producteur et la tête pensante de Backdoor Records, Azzedine Djelil. Six se modèle définitivement au studio Backdoor. Aux guitares, Raoul Chichin. Aux chœurs, des voix belges habituées aux studios jazz et reggae. Au mastering, Mike Bozzi, qui a officié sur les disques de Kendrick Lamar comme de Tyler the Creator.

Entre ballade lancinante et up tempo ravageur, chaque titre de Six évoque le départ de l’autre,hormis « Good Bye », où le narrateur décide enfin de rompre. Y résonnent ses influences – de la country à la soul en passant par le R’n’B et le rock’n’roll. John Mayer, pour la guitare maline, Gary Clark Jr, pour l’élégance du crooning, Lenny Kravitz, pour l’hybridité sonore, Bruno Mars, pour l’efficacité imparable du groove, The Weeknd, pour la sensualité, Whitney Houston, pour la voix insurpassable, Taylor Swift, pour la plume agile, Amy Winehouse, pour la sincérité écorchée vive, Phil Collins pour les grandes complaintes amoureuses des années 80 – « Against All Odds », pour toujours !
  • Soul
  • Rock
  • Pop-rock
  • Bruxelles

Contacts et médias

Retrouvez ici les plateformes sur lesquelles l'artiste est présent·e

    Vidéos

    Galerie de l'artiste

    Biographie

    Antoine Innocent a grandi au sein d’un foyer cosmopolite : d’un côté, sa mère, première née en France d’une famille roumaine ; de l’autre, son père, originaire d’Haïti, qu’il a quittée à l’âge de 20 ans pour tenter sa chance comme chanteur aux États-Unis.
    Jusqu’à l’adolescence, Antoine suit son père en tournée, se familiarisant avec les scènes et les coulisses. Humble et néanmoins exigeant, son père l’invite même à partager le micro avec lui sur scène.
    Après un passage à Ottawa, pour être plus proche de l’activité de son père, sa mère choisit finalement de s’installer à Bruxelles, qui devient la ville de cœur d’Antoine. Là, il s’essaye à la comédie musicale et chante au lycée, souvent aux côtés de sa sœur. Mais il le sait : la musique, bien qu’omniprésente, n’est pas innée. « Elle est aussi le fruit de beaucoup de travail », confie-t-il.
    Dans un minuscule home studio ressemblant à une cave, Antoine se lance des défis : apprendre à placer sa voix dans le micro, à s’accompagner à la guitare, à écrire des chansons, tout en poursuivant ses études. Alors qu’il est prêt à se consacrer entièrement à son art, la pandémie survient. Face à une culture devenue « non essentielle » et des doutes personnels, il hésite. Pourtant, l’appel de la musique finit par être plus fort.

    Mentoré depuis ses 14 ans par le co-fondateur de PIAS, Michel Lambot, il rencontre à cette
    époque le producteur et la tête pensante de Backdoor Records, Azzedine Djelil. Six se modèle définitivement au studio Backdoor. Aux guitares, Raoul Chichin. Aux chœurs, des voix belges habituées aux studios jazz et reggae. Au mastering, Mike Bozzi, qui a officié sur les disques de Kendrick Lamar comme de Tyler the Creator.

    Entre ballade lancinante et up tempo ravageur, chaque titre de Six évoque le départ de l’autre,hormis « Good Bye », où le narrateur décide enfin de rompre. Y résonnent ses influences – de la country à la soul en passant par le R’n’B et le rock’n’roll. John Mayer, pour la guitare maline, Gary Clark Jr, pour l’élégance du crooning, Lenny Kravitz, pour l’hybridité sonore, Bruno Mars, pour l’efficacité imparable du groove, The Weeknd, pour la sensualité, Whitney Houston, pour la voix insurpassable, Taylor Swift, pour la plume agile, Amy Winehouse, pour la sincérité écorchée vive, Phil Collins pour les grandes complaintes amoureuses des années 80 – « Against All Odds », pour toujours !
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