Biographie

DV (ou DiVi). Pas encore d'EP (ou d'IPi). Mais un premier titre dévoilé sur la toile. Et bien d'autres encore planqués dans le dossier d'un PC. Le temps d'arriver à maturité. Derrière DV, Arnaud Devillers. 21 ans, étudiant. Avant de créer DV en février dernier, Arnaud a connu un autre projet intitulé Black Spleen. "Nous avons été rattrapés par nos divergences d'influences". Avec DV, Arnaud continue d'être épaulé par le bassiste de feu Black Spleen, Germain Piraux, 21 ans. A la batterie, il peut compter tantôt sur la famille, Djelloy Devillers, 21 ans, tantôt sur des amis, comme Louis Jassogne (Like Like, Samuel Bosmans, Suasion...). C'est avec Louis, à la batterie, et Germain, à la basse, qu'Arnaud a investi le Nooba Studio, niché à Grez-Doiceau, pour l'enregistrement de ses premiers morceaux. Parmi lesquels Some Words. De nouveau, et fort de ce morceau, Arnaud surprend. Lui qui baigne dans la galaxie de groupes au rock bien trempé, voilà qu'il débarque avec un titre qui n'a rien à envier aux derniers Puggy. "Le texte n'a pas spécialement une orientation politique. Je donne mon point de vue sur un phénomène de société qui a trait aux inégalités, au questionnement sur nous-mêmes... Où en sommes-nous? Les gens en tiennent compte ou non...". La voix d'Arnaud plane aux côtés d'un cocktail instrumental, moins pop qu'il n'y paraît. Solo de guitare pour le prouver. Et Arnaud d'insister: "Non, les solos de guitare, ce n'est pas ringard!" Il en profite pour nous dévoiler d'autres titres, en gestation... "Ils devraient sortir d'ici quelques semaines." Une fois encore, l'artiste aura le don de nous prendre à revers. En se détournant de l'univers de Some Words pour en revenir aux premiers amours: Metallica, Muse, Aerosmith, Ghost... Avec DV, plus que jamais, le bonheur est dans le contraste. Dans le contre-pied. Et, au fond, c'est aussi le message véhiculé dans Some Words. Invitation à se libérer des chaînes d'un système. En lui faisant le gros dos. En lui tendant son doigt d'honneur. Avec couleurs et pudeur." Extrait de l'article de Pierre Paulus pour Génération 21 sur Classic 21
  • Rock
  • Chaumont-Gistoux

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Retrouvez ici les plateformes sur lesquelles l'artiste est présent·e

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DV (ou DiVi). Pas encore d'EP (ou d'IPi). Mais un premier titre dévoilé sur la toile. Et bien d'autres encore planqués dans le dossier d'un PC. Le temps d'arriver à maturité. Derrière DV, Arnaud Devillers. 21 ans, étudiant. Avant de créer DV en février dernier, Arnaud a connu un autre projet intitulé Black Spleen. "Nous avons été rattrapés par nos divergences d'influences". Avec DV, Arnaud continue d'être épaulé par le bassiste de feu Black Spleen, Germain Piraux, 21 ans. A la batterie, il peut compter tantôt sur la famille, Djelloy Devillers, 21 ans, tantôt sur des amis, comme Louis Jassogne (Like Like, Samuel Bosmans, Suasion...). C'est avec Louis, à la batterie, et Germain, à la basse, qu'Arnaud a investi le Nooba Studio, niché à Grez-Doiceau, pour l'enregistrement de ses premiers morceaux. Parmi lesquels Some Words. De nouveau, et fort de ce morceau, Arnaud surprend. Lui qui baigne dans la galaxie de groupes au rock bien trempé, voilà qu'il débarque avec un titre qui n'a rien à envier aux derniers Puggy. "Le texte n'a pas spécialement une orientation politique. Je donne mon point de vue sur un phénomène de société qui a trait aux inégalités, au questionnement sur nous-mêmes... Où en sommes-nous? Les gens en tiennent compte ou non...". La voix d'Arnaud plane aux côtés d'un cocktail instrumental, moins pop qu'il n'y paraît. Solo de guitare pour le prouver. Et Arnaud d'insister: "Non, les solos de guitare, ce n'est pas ringard!" Il en profite pour nous dévoiler d'autres titres, en gestation... "Ils devraient sortir d'ici quelques semaines." Une fois encore, l'artiste aura le don de nous prendre à revers. En se détournant de l'univers de Some Words pour en revenir aux premiers amours: Metallica, Muse, Aerosmith, Ghost... Avec DV, plus que jamais, le bonheur est dans le contraste. Dans le contre-pied. Et, au fond, c'est aussi le message véhiculé dans Some Words. Invitation à se libérer des chaînes d'un système. En lui faisant le gros dos. En lui tendant son doigt d'honneur. Avec couleurs et pudeur." Extrait de l'article de Pierre Paulus pour Génération 21 sur Classic 21
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