DAGO DAGO
Biographie
Emmené par Eric D'Agostino, le collectif DagoDago donne de la voix au confluent du pop, du rock, et de la chanson française éprise d'amour et de liberté. Annoncé pour la rentrée 2023, le premier album du groupe marque une étape importante dans la vie du parolier belgo-italien. Fils d'un mineur de fond, Éric Dagostino s'est frotté de près aux écueils du déracinement. Toujours trop Italien pour les uns, jamais assez Belge pour les autres, le garçon trouve finalement son équilibre sur les cordes d'une guitare acoustique. Véritable confident, l'instrument lui permet d'explorer ses sentiments et de rejouer ses premiers émois musicaux en véritable autodidacte. Les chansons de Bowie, Bashung, Arno, Pino Daniele, Gainsbourg ou Renaud lui offre en effet des accords de rêve, mais aussi un moyen d'échapper à la réalité.
Parti à Louvain-la-Neuve pour y mener à bien des études d'ingénieur du son à l'IAD, Éric D'Agostino croise la route de Marc De Martelaer, bassiste et chanteur aux idées XXL. Les deux musiciens s'associent et s'en vont délivrer une chanson française bordée d'acid-jazz sur les routes d'ici et d'ailleurs. En marge de ces tournées à l'étrangers, D'Agostino intègre le Jazz Studio d'Anvers, peaufine sa voix aux côtés de David Linx et s'initie à la batterie en compagnie de Bruno Castelucci. Fort de ces différentes formations, le multi-instrumentiste s'intègre au cœur d'une scène jazz en pleine ébullition. Pierre Vandormeal, Gino Latucca, Victor Da Costa ou Paolo Loveri bénéficient notamment de son savoir-faire.
Réalisateur remarqué aux Magritte du Cinéma, Éric D'Agostino est également l'auteur de « La Nef des Fous », un film vertigineux, fruit d'une immersion de plus de deux ans dans l'annexe psychiatrique d'une des plus grandes prisons de Belgique. Aussi enrichissante que traumatisante, cette expérience cinématographique, amène l'artiste à se ressourcer au plus près de sa musique, de ses émotions et d'une conscience sociale plus acérée que jamais. Accompagné par le bassiste Marc De Martelaer et par le claviériste Amine Doukali, Éric D'Agostino pose des mots engagés sur des sentiers soul-funk, french pop ou hip-hop avec, à la clé, la naissance d'un album au groove savoureux. Fidèle aux origines de son patronyme (« dago » est un mot d'argot américain utilisé pour moquer les émigrés italiens dans les quartiers populaires), DagoDago se porte au chevet des déracinés et de toutes les personnes broyées par le système. Avec ce premier album, DagoDago chante tout haut ce qui se pense tout bas. C'est beau, alternatif. Toujours libre de ses mouvements.
Parti à Louvain-la-Neuve pour y mener à bien des études d'ingénieur du son à l'IAD, Éric D'Agostino croise la route de Marc De Martelaer, bassiste et chanteur aux idées XXL. Les deux musiciens s'associent et s'en vont délivrer une chanson française bordée d'acid-jazz sur les routes d'ici et d'ailleurs. En marge de ces tournées à l'étrangers, D'Agostino intègre le Jazz Studio d'Anvers, peaufine sa voix aux côtés de David Linx et s'initie à la batterie en compagnie de Bruno Castelucci. Fort de ces différentes formations, le multi-instrumentiste s'intègre au cœur d'une scène jazz en pleine ébullition. Pierre Vandormeal, Gino Latucca, Victor Da Costa ou Paolo Loveri bénéficient notamment de son savoir-faire.
Réalisateur remarqué aux Magritte du Cinéma, Éric D'Agostino est également l'auteur de « La Nef des Fous », un film vertigineux, fruit d'une immersion de plus de deux ans dans l'annexe psychiatrique d'une des plus grandes prisons de Belgique. Aussi enrichissante que traumatisante, cette expérience cinématographique, amène l'artiste à se ressourcer au plus près de sa musique, de ses émotions et d'une conscience sociale plus acérée que jamais. Accompagné par le bassiste Marc De Martelaer et par le claviériste Amine Doukali, Éric D'Agostino pose des mots engagés sur des sentiers soul-funk, french pop ou hip-hop avec, à la clé, la naissance d'un album au groove savoureux. Fidèle aux origines de son patronyme (« dago » est un mot d'argot américain utilisé pour moquer les émigrés italiens dans les quartiers populaires), DagoDago se porte au chevet des déracinés et de toutes les personnes broyées par le système. Avec ce premier album, DagoDago chante tout haut ce qui se pense tout bas. C'est beau, alternatif. Toujours libre de ses mouvements.
dago.music.be (a) gmail.com
Biographie
Emmené par Eric D'Agostino, le collectif DagoDago donne de la voix au confluent du pop, du rock, et de la chanson française éprise d'amour et de liberté. Annoncé pour la rentrée 2023, le premier album du groupe marque une étape importante dans la vie du parolier belgo-italien. Fils d'un mineur de fond, Éric Dagostino s'est frotté de près aux écueils du déracinement. Toujours trop Italien pour les uns, jamais assez Belge pour les autres, le garçon trouve finalement son équilibre sur les cordes d'une guitare acoustique. Véritable confident, l'instrument lui permet d'explorer ses sentiments et de rejouer ses premiers émois musicaux en véritable autodidacte. Les chansons de Bowie, Bashung, Arno, Pino Daniele, Gainsbourg ou Renaud lui offre en effet des accords de rêve, mais aussi un moyen d'échapper à la réalité.
Parti à Louvain-la-Neuve pour y mener à bien des études d'ingénieur du son à l'IAD, Éric D'Agostino croise la route de Marc De Martelaer, bassiste et chanteur aux idées XXL. Les deux musiciens s'associent et s'en vont délivrer une chanson française bordée d'acid-jazz sur les routes d'ici et d'ailleurs. En marge de ces tournées à l'étrangers, D'Agostino intègre le Jazz Studio d'Anvers, peaufine sa voix aux côtés de David Linx et s'initie à la batterie en compagnie de Bruno Castelucci. Fort de ces différentes formations, le multi-instrumentiste s'intègre au cœur d'une scène jazz en pleine ébullition. Pierre Vandormeal, Gino Latucca, Victor Da Costa ou Paolo Loveri bénéficient notamment de son savoir-faire.
Réalisateur remarqué aux Magritte du Cinéma, Éric D'Agostino est également l'auteur de « La Nef des Fous », un film vertigineux, fruit d'une immersion de plus de deux ans dans l'annexe psychiatrique d'une des plus grandes prisons de Belgique. Aussi enrichissante que traumatisante, cette expérience cinématographique, amène l'artiste à se ressourcer au plus près de sa musique, de ses émotions et d'une conscience sociale plus acérée que jamais. Accompagné par le bassiste Marc De Martelaer et par le claviériste Amine Doukali, Éric D'Agostino pose des mots engagés sur des sentiers soul-funk, french pop ou hip-hop avec, à la clé, la naissance d'un album au groove savoureux. Fidèle aux origines de son patronyme (« dago » est un mot d'argot américain utilisé pour moquer les émigrés italiens dans les quartiers populaires), DagoDago se porte au chevet des déracinés et de toutes les personnes broyées par le système. Avec ce premier album, DagoDago chante tout haut ce qui se pense tout bas. C'est beau, alternatif. Toujours libre de ses mouvements.
Parti à Louvain-la-Neuve pour y mener à bien des études d'ingénieur du son à l'IAD, Éric D'Agostino croise la route de Marc De Martelaer, bassiste et chanteur aux idées XXL. Les deux musiciens s'associent et s'en vont délivrer une chanson française bordée d'acid-jazz sur les routes d'ici et d'ailleurs. En marge de ces tournées à l'étrangers, D'Agostino intègre le Jazz Studio d'Anvers, peaufine sa voix aux côtés de David Linx et s'initie à la batterie en compagnie de Bruno Castelucci. Fort de ces différentes formations, le multi-instrumentiste s'intègre au cœur d'une scène jazz en pleine ébullition. Pierre Vandormeal, Gino Latucca, Victor Da Costa ou Paolo Loveri bénéficient notamment de son savoir-faire.
Réalisateur remarqué aux Magritte du Cinéma, Éric D'Agostino est également l'auteur de « La Nef des Fous », un film vertigineux, fruit d'une immersion de plus de deux ans dans l'annexe psychiatrique d'une des plus grandes prisons de Belgique. Aussi enrichissante que traumatisante, cette expérience cinématographique, amène l'artiste à se ressourcer au plus près de sa musique, de ses émotions et d'une conscience sociale plus acérée que jamais. Accompagné par le bassiste Marc De Martelaer et par le claviériste Amine Doukali, Éric D'Agostino pose des mots engagés sur des sentiers soul-funk, french pop ou hip-hop avec, à la clé, la naissance d'un album au groove savoureux. Fidèle aux origines de son patronyme (« dago » est un mot d'argot américain utilisé pour moquer les émigrés italiens dans les quartiers populaires), DagoDago se porte au chevet des déracinés et de toutes les personnes broyées par le système. Avec ce premier album, DagoDago chante tout haut ce qui se pense tout bas. C'est beau, alternatif. Toujours libre de ses mouvements.
dago.music.be (a) gmail.com