Carla Biber
Biographie
Batteuse, chanteuse, arrangeuse, productrice, Carla Biber propose une pop jubilatoire et subtile, en s'inspirant des plus grand.e.s. Aperçue dans divers projets indés bruxellois, Carla est issue des conservatoires de Maastricht et Bruxelles, où elle devient la première femme diplômée en batterie jazz de l’histoire des deux écoles (aussi fou que cela paraisse).
Ses ambitions se situent aujourd’hui au sein de la musique pop, à laquelle elle applique la même rigueur qu’au jazz : les morceaux sont marqués par une grande nostalgie pour le songwriting des années 80, qu’elle n’a pourtant connues que par filiation. Petite durant les années 2000, elle était prête à jurer que sa banlieue en région liégeoise avait la couleur incandescente d’une Amérique fantasmée et cinématographique, entre couchers de soleil sur parkings à ciel ouvert et parties de bowling interminables.
C’est lors d’une de celles-ci qu’elle découvre, sur les écrans discount, Prince, Phil Collins et tous ces artistes qui l'amènent à la musique. Si l’on ajoute un soupçon de pop électronique féminine (l’Imaginal Disk de Magdalena Bay ou le Brat de Charli XCX) et l’influence de ses cours d'arrangement jazz, où elle découvre Maria Schneider et Sammy Nestico, on obtient un cocktail explosif où la technique instrumentale est au service d'une musique légère, universelle avec un sous-texte introspectif. Irrévérencieuse et plutôt joueuse dans ses propositions, Carla est une obsédée de la mélodie comme en attestent ses refrains entêtants et la folie toujours croissante de ses ad-libs entremêlés. Elle raconte ses amours queers, ses rêveries et dénis avec une énergie fougueuse qui ne s’interrompt que le temps de quelques bridges intimistes.
Sur scène, les chansons sont portées en quatuor, avec certain.e.s des jeunes musicien.ne.s les plus affuté.e.s de Belgique francophone (officiant notamment avec Colt ou Nico Ducarme) puis portés par une Carla front-woman et parfois multitâches à la batterie et à la voix, qui chante tout en électrisant l’audience par ses rythmes !
Son premier EP “I Might be the Problem” est prévu vers la fin du printemps 2026. Il présentera les singles “Shy”, “Bada-Boom” (ft. Shoko Igarachi) et Danish Girl et sera l'occasion de surprendre en révélant le projet de cœur de la jeune musicienne, à contrepied de ce qui est attendu d'elle.
Ses ambitions se situent aujourd’hui au sein de la musique pop, à laquelle elle applique la même rigueur qu’au jazz : les morceaux sont marqués par une grande nostalgie pour le songwriting des années 80, qu’elle n’a pourtant connues que par filiation. Petite durant les années 2000, elle était prête à jurer que sa banlieue en région liégeoise avait la couleur incandescente d’une Amérique fantasmée et cinématographique, entre couchers de soleil sur parkings à ciel ouvert et parties de bowling interminables.
C’est lors d’une de celles-ci qu’elle découvre, sur les écrans discount, Prince, Phil Collins et tous ces artistes qui l'amènent à la musique. Si l’on ajoute un soupçon de pop électronique féminine (l’Imaginal Disk de Magdalena Bay ou le Brat de Charli XCX) et l’influence de ses cours d'arrangement jazz, où elle découvre Maria Schneider et Sammy Nestico, on obtient un cocktail explosif où la technique instrumentale est au service d'une musique légère, universelle avec un sous-texte introspectif. Irrévérencieuse et plutôt joueuse dans ses propositions, Carla est une obsédée de la mélodie comme en attestent ses refrains entêtants et la folie toujours croissante de ses ad-libs entremêlés. Elle raconte ses amours queers, ses rêveries et dénis avec une énergie fougueuse qui ne s’interrompt que le temps de quelques bridges intimistes.
Sur scène, les chansons sont portées en quatuor, avec certain.e.s des jeunes musicien.ne.s les plus affuté.e.s de Belgique francophone (officiant notamment avec Colt ou Nico Ducarme) puis portés par une Carla front-woman et parfois multitâches à la batterie et à la voix, qui chante tout en électrisant l’audience par ses rythmes !
Son premier EP “I Might be the Problem” est prévu vers la fin du printemps 2026. Il présentera les singles “Shy”, “Bada-Boom” (ft. Shoko Igarachi) et Danish Girl et sera l'occasion de surprendre en révélant le projet de cœur de la jeune musicienne, à contrepied de ce qui est attendu d'elle.
gauthiergilissen (a) gmail.com
Biographie
Batteuse, chanteuse, arrangeuse, productrice, Carla Biber propose une pop jubilatoire et subtile, en s'inspirant des plus grand.e.s. Aperçue dans divers projets indés bruxellois, Carla est issue des conservatoires de Maastricht et Bruxelles, où elle devient la première femme diplômée en batterie jazz de l’histoire des deux écoles (aussi fou que cela paraisse).
Ses ambitions se situent aujourd’hui au sein de la musique pop, à laquelle elle applique la même rigueur qu’au jazz : les morceaux sont marqués par une grande nostalgie pour le songwriting des années 80, qu’elle n’a pourtant connues que par filiation. Petite durant les années 2000, elle était prête à jurer que sa banlieue en région liégeoise avait la couleur incandescente d’une Amérique fantasmée et cinématographique, entre couchers de soleil sur parkings à ciel ouvert et parties de bowling interminables.
C’est lors d’une de celles-ci qu’elle découvre, sur les écrans discount, Prince, Phil Collins et tous ces artistes qui l'amènent à la musique. Si l’on ajoute un soupçon de pop électronique féminine (l’Imaginal Disk de Magdalena Bay ou le Brat de Charli XCX) et l’influence de ses cours d'arrangement jazz, où elle découvre Maria Schneider et Sammy Nestico, on obtient un cocktail explosif où la technique instrumentale est au service d'une musique légère, universelle avec un sous-texte introspectif. Irrévérencieuse et plutôt joueuse dans ses propositions, Carla est une obsédée de la mélodie comme en attestent ses refrains entêtants et la folie toujours croissante de ses ad-libs entremêlés. Elle raconte ses amours queers, ses rêveries et dénis avec une énergie fougueuse qui ne s’interrompt que le temps de quelques bridges intimistes.
Sur scène, les chansons sont portées en quatuor, avec certain.e.s des jeunes musicien.ne.s les plus affuté.e.s de Belgique francophone (officiant notamment avec Colt ou Nico Ducarme) puis portés par une Carla front-woman et parfois multitâches à la batterie et à la voix, qui chante tout en électrisant l’audience par ses rythmes !
Son premier EP “I Might be the Problem” est prévu vers la fin du printemps 2026. Il présentera les singles “Shy”, “Bada-Boom” (ft. Shoko Igarachi) et Danish Girl et sera l'occasion de surprendre en révélant le projet de cœur de la jeune musicienne, à contrepied de ce qui est attendu d'elle.
Ses ambitions se situent aujourd’hui au sein de la musique pop, à laquelle elle applique la même rigueur qu’au jazz : les morceaux sont marqués par une grande nostalgie pour le songwriting des années 80, qu’elle n’a pourtant connues que par filiation. Petite durant les années 2000, elle était prête à jurer que sa banlieue en région liégeoise avait la couleur incandescente d’une Amérique fantasmée et cinématographique, entre couchers de soleil sur parkings à ciel ouvert et parties de bowling interminables.
C’est lors d’une de celles-ci qu’elle découvre, sur les écrans discount, Prince, Phil Collins et tous ces artistes qui l'amènent à la musique. Si l’on ajoute un soupçon de pop électronique féminine (l’Imaginal Disk de Magdalena Bay ou le Brat de Charli XCX) et l’influence de ses cours d'arrangement jazz, où elle découvre Maria Schneider et Sammy Nestico, on obtient un cocktail explosif où la technique instrumentale est au service d'une musique légère, universelle avec un sous-texte introspectif. Irrévérencieuse et plutôt joueuse dans ses propositions, Carla est une obsédée de la mélodie comme en attestent ses refrains entêtants et la folie toujours croissante de ses ad-libs entremêlés. Elle raconte ses amours queers, ses rêveries et dénis avec une énergie fougueuse qui ne s’interrompt que le temps de quelques bridges intimistes.
Sur scène, les chansons sont portées en quatuor, avec certain.e.s des jeunes musicien.ne.s les plus affuté.e.s de Belgique francophone (officiant notamment avec Colt ou Nico Ducarme) puis portés par une Carla front-woman et parfois multitâches à la batterie et à la voix, qui chante tout en électrisant l’audience par ses rythmes !
Son premier EP “I Might be the Problem” est prévu vers la fin du printemps 2026. Il présentera les singles “Shy”, “Bada-Boom” (ft. Shoko Igarachi) et Danish Girl et sera l'occasion de surprendre en révélant le projet de cœur de la jeune musicienne, à contrepied de ce qui est attendu d'elle.
gauthiergilissen (a) gmail.com