Josselin Beaumont
Biographie
Comme beaucoup de kids des années 90 (de famille recomposée donc), à 8 ans, Josselin passe des heures en voiture entre la maison de ses deux parents. Des heures à cruiser entre les champs de blé blond de la Beauce et de la sarthe, mais aussi dans les bouchons assourdissants des boulevards Parisiens.
Dans la vieille BM cabossée de sa mère, ou ça sent le tabac à rouler Samson Ultra-Doux, on écoute les Cranberries, Céline Dion, Jane Birkin. Ou alors Souchon, Cabrel, Brassens et Aznavour quand c'est son beau-père qui conduit, une Rothmans-Rouge au bec.
Dans la Merco cuivrée de son père, (qu'embaume la fumée des Philippe Morris One) on est plus rock, c'est les classiques du British Blues Boom : Beatles, Stones et consort, mais aussi Gipsy King, Santana et Zucherro. Quand c'est du français, ça penche du côté électrique quand même, Goldman, Balavoine, Téléphone.
Bref, c'est au rythme d'un cruising pépère sur les routes de l'Hexagone, bercé par le feulement des grosses cylindrés allemandes vieillissantes, le regard fixé sur les paysages qui défilent, et la musique en intraveineuse, que Josselin forge son identité musicale. Français et Anglais, acoustique et électrique, chanson à texte et chanson à mélodie.
Enfance et adolescence entre la capitale, la province (Orléans) et la rase campagne. Rat des villes et rat des champs (« J'suis mal en campagne et mal en ville » chantait le gars Souchon) c'est à 13 ans en buvant l'une de ses premières bières et fumant l'une de ses premières cigarettes avec sa soeur ainée, qu'une vocation née.
Laeticia tire sur sa cigarette, descends une gorgé de Kronenbourg tiède, et griffonne sur un papier avec un bic noir cassé : « Flamingo hôtel, photo du motel ». Photo souvenir imprimée sur la rétine en 4K. Première séance d'écriture, en famille. La scène se passe dans un microscopique studio parisien de la rue mouffetard, sous les toits et surtout sous le ciel de Paris.
A 16 ans, adolescents tourmenté (pléonasme) la vocation est confirmée. Dans le bus pour aller au lycée, encore étourdi par la première cigarette du matin. Il écrit en écoutant le rap français du moment. Quand viens le soir il compose des instrus basiques et s'essaie au rap.
Au même moment il entend par hasard le titre Hexagone de Renaud. La version studio, avec le riff d'harmonica et la voix nasillarde, arrogante, et frondeuse d'une espèce de Dylan Français. Quelques-semaine après il pique une guitare à son beau-père se procure des livres de partitions du protest-singer français et se met au turbin.
La guitare ne le lâchera pas, finir le lycée laborieusement ... école de communication à Paris, vers la Bastille, puis école de commerce à La Rochelle, parce-que « Le commerce ça marchera toujours ».
Les chansons s'accumulent, la guitare comme bouclier parce-que la voix mal assurée, les premières années de boulot. Les scènes ouvertes et les jam sessions. Les galères de la vie normale, les mascarades et les déceptions de la vie moderne.
La musique : sémaphore rougeoyant pour jour de tempête, reste, à la fois muse et mère nourricière.
Aujourd'hui, Josselin Beaumont c'est un grand dégingandé au-delà du 1,90m, une gueule à mi-chemin entre Depardieu et Delon jeunes. Une voix qui emprunte à Jacques Dutronc, au Johnny des débuts ou au Liam Gallagher période Définitely Maybe. Et des composition Rock'N Roll et et Folk-Rock, toujours en Français.
Ça parle des frustrations du quotidiens, des chagrins d'amours, des désillusions de l'âge adulte, des luttes internes universelles. Mais aussi de l'amour, la famille, les amis.
Les choses aussi simple qu'un café en terrasse avec la femme qu'on aime, une grosse marrade imbibée avec ses copains d'enfance. Un déjeuner dominical en famille au printemps. Bref, la vie !
« Mes amis, mes amours, mes emmerdes » comme chantait l'autre !
Dans la vieille BM cabossée de sa mère, ou ça sent le tabac à rouler Samson Ultra-Doux, on écoute les Cranberries, Céline Dion, Jane Birkin. Ou alors Souchon, Cabrel, Brassens et Aznavour quand c'est son beau-père qui conduit, une Rothmans-Rouge au bec.
Dans la Merco cuivrée de son père, (qu'embaume la fumée des Philippe Morris One) on est plus rock, c'est les classiques du British Blues Boom : Beatles, Stones et consort, mais aussi Gipsy King, Santana et Zucherro. Quand c'est du français, ça penche du côté électrique quand même, Goldman, Balavoine, Téléphone.
Bref, c'est au rythme d'un cruising pépère sur les routes de l'Hexagone, bercé par le feulement des grosses cylindrés allemandes vieillissantes, le regard fixé sur les paysages qui défilent, et la musique en intraveineuse, que Josselin forge son identité musicale. Français et Anglais, acoustique et électrique, chanson à texte et chanson à mélodie.
Enfance et adolescence entre la capitale, la province (Orléans) et la rase campagne. Rat des villes et rat des champs (« J'suis mal en campagne et mal en ville » chantait le gars Souchon) c'est à 13 ans en buvant l'une de ses premières bières et fumant l'une de ses premières cigarettes avec sa soeur ainée, qu'une vocation née.
Laeticia tire sur sa cigarette, descends une gorgé de Kronenbourg tiède, et griffonne sur un papier avec un bic noir cassé : « Flamingo hôtel, photo du motel ». Photo souvenir imprimée sur la rétine en 4K. Première séance d'écriture, en famille. La scène se passe dans un microscopique studio parisien de la rue mouffetard, sous les toits et surtout sous le ciel de Paris.
A 16 ans, adolescents tourmenté (pléonasme) la vocation est confirmée. Dans le bus pour aller au lycée, encore étourdi par la première cigarette du matin. Il écrit en écoutant le rap français du moment. Quand viens le soir il compose des instrus basiques et s'essaie au rap.
Au même moment il entend par hasard le titre Hexagone de Renaud. La version studio, avec le riff d'harmonica et la voix nasillarde, arrogante, et frondeuse d'une espèce de Dylan Français. Quelques-semaine après il pique une guitare à son beau-père se procure des livres de partitions du protest-singer français et se met au turbin.
La guitare ne le lâchera pas, finir le lycée laborieusement ... école de communication à Paris, vers la Bastille, puis école de commerce à La Rochelle, parce-que « Le commerce ça marchera toujours ».
Les chansons s'accumulent, la guitare comme bouclier parce-que la voix mal assurée, les premières années de boulot. Les scènes ouvertes et les jam sessions. Les galères de la vie normale, les mascarades et les déceptions de la vie moderne.
La musique : sémaphore rougeoyant pour jour de tempête, reste, à la fois muse et mère nourricière.
Aujourd'hui, Josselin Beaumont c'est un grand dégingandé au-delà du 1,90m, une gueule à mi-chemin entre Depardieu et Delon jeunes. Une voix qui emprunte à Jacques Dutronc, au Johnny des débuts ou au Liam Gallagher période Définitely Maybe. Et des composition Rock'N Roll et et Folk-Rock, toujours en Français.
Ça parle des frustrations du quotidiens, des chagrins d'amours, des désillusions de l'âge adulte, des luttes internes universelles. Mais aussi de l'amour, la famille, les amis.
Les choses aussi simple qu'un café en terrasse avec la femme qu'on aime, une grosse marrade imbibée avec ses copains d'enfance. Un déjeuner dominical en famille au printemps. Bref, la vie !
« Mes amis, mes amours, mes emmerdes » comme chantait l'autre !
josselin.beaumont89 (a) gmail.com
Biographie
Comme beaucoup de kids des années 90 (de famille recomposée donc), à 8 ans, Josselin passe des heures en voiture entre la maison de ses deux parents. Des heures à cruiser entre les champs de blé blond de la Beauce et de la sarthe, mais aussi dans les bouchons assourdissants des boulevards Parisiens.
Dans la vieille BM cabossée de sa mère, ou ça sent le tabac à rouler Samson Ultra-Doux, on écoute les Cranberries, Céline Dion, Jane Birkin. Ou alors Souchon, Cabrel, Brassens et Aznavour quand c'est son beau-père qui conduit, une Rothmans-Rouge au bec.
Dans la Merco cuivrée de son père, (qu'embaume la fumée des Philippe Morris One) on est plus rock, c'est les classiques du British Blues Boom : Beatles, Stones et consort, mais aussi Gipsy King, Santana et Zucherro. Quand c'est du français, ça penche du côté électrique quand même, Goldman, Balavoine, Téléphone.
Bref, c'est au rythme d'un cruising pépère sur les routes de l'Hexagone, bercé par le feulement des grosses cylindrés allemandes vieillissantes, le regard fixé sur les paysages qui défilent, et la musique en intraveineuse, que Josselin forge son identité musicale. Français et Anglais, acoustique et électrique, chanson à texte et chanson à mélodie.
Enfance et adolescence entre la capitale, la province (Orléans) et la rase campagne. Rat des villes et rat des champs (« J'suis mal en campagne et mal en ville » chantait le gars Souchon) c'est à 13 ans en buvant l'une de ses premières bières et fumant l'une de ses premières cigarettes avec sa soeur ainée, qu'une vocation née.
Laeticia tire sur sa cigarette, descends une gorgé de Kronenbourg tiède, et griffonne sur un papier avec un bic noir cassé : « Flamingo hôtel, photo du motel ». Photo souvenir imprimée sur la rétine en 4K. Première séance d'écriture, en famille. La scène se passe dans un microscopique studio parisien de la rue mouffetard, sous les toits et surtout sous le ciel de Paris.
A 16 ans, adolescents tourmenté (pléonasme) la vocation est confirmée. Dans le bus pour aller au lycée, encore étourdi par la première cigarette du matin. Il écrit en écoutant le rap français du moment. Quand viens le soir il compose des instrus basiques et s'essaie au rap.
Au même moment il entend par hasard le titre Hexagone de Renaud. La version studio, avec le riff d'harmonica et la voix nasillarde, arrogante, et frondeuse d'une espèce de Dylan Français. Quelques-semaine après il pique une guitare à son beau-père se procure des livres de partitions du protest-singer français et se met au turbin.
La guitare ne le lâchera pas, finir le lycée laborieusement ... école de communication à Paris, vers la Bastille, puis école de commerce à La Rochelle, parce-que « Le commerce ça marchera toujours ».
Les chansons s'accumulent, la guitare comme bouclier parce-que la voix mal assurée, les premières années de boulot. Les scènes ouvertes et les jam sessions. Les galères de la vie normale, les mascarades et les déceptions de la vie moderne.
La musique : sémaphore rougeoyant pour jour de tempête, reste, à la fois muse et mère nourricière.
Aujourd'hui, Josselin Beaumont c'est un grand dégingandé au-delà du 1,90m, une gueule à mi-chemin entre Depardieu et Delon jeunes. Une voix qui emprunte à Jacques Dutronc, au Johnny des débuts ou au Liam Gallagher période Définitely Maybe. Et des composition Rock'N Roll et et Folk-Rock, toujours en Français.
Ça parle des frustrations du quotidiens, des chagrins d'amours, des désillusions de l'âge adulte, des luttes internes universelles. Mais aussi de l'amour, la famille, les amis.
Les choses aussi simple qu'un café en terrasse avec la femme qu'on aime, une grosse marrade imbibée avec ses copains d'enfance. Un déjeuner dominical en famille au printemps. Bref, la vie !
« Mes amis, mes amours, mes emmerdes » comme chantait l'autre !
Dans la vieille BM cabossée de sa mère, ou ça sent le tabac à rouler Samson Ultra-Doux, on écoute les Cranberries, Céline Dion, Jane Birkin. Ou alors Souchon, Cabrel, Brassens et Aznavour quand c'est son beau-père qui conduit, une Rothmans-Rouge au bec.
Dans la Merco cuivrée de son père, (qu'embaume la fumée des Philippe Morris One) on est plus rock, c'est les classiques du British Blues Boom : Beatles, Stones et consort, mais aussi Gipsy King, Santana et Zucherro. Quand c'est du français, ça penche du côté électrique quand même, Goldman, Balavoine, Téléphone.
Bref, c'est au rythme d'un cruising pépère sur les routes de l'Hexagone, bercé par le feulement des grosses cylindrés allemandes vieillissantes, le regard fixé sur les paysages qui défilent, et la musique en intraveineuse, que Josselin forge son identité musicale. Français et Anglais, acoustique et électrique, chanson à texte et chanson à mélodie.
Enfance et adolescence entre la capitale, la province (Orléans) et la rase campagne. Rat des villes et rat des champs (« J'suis mal en campagne et mal en ville » chantait le gars Souchon) c'est à 13 ans en buvant l'une de ses premières bières et fumant l'une de ses premières cigarettes avec sa soeur ainée, qu'une vocation née.
Laeticia tire sur sa cigarette, descends une gorgé de Kronenbourg tiède, et griffonne sur un papier avec un bic noir cassé : « Flamingo hôtel, photo du motel ». Photo souvenir imprimée sur la rétine en 4K. Première séance d'écriture, en famille. La scène se passe dans un microscopique studio parisien de la rue mouffetard, sous les toits et surtout sous le ciel de Paris.
A 16 ans, adolescents tourmenté (pléonasme) la vocation est confirmée. Dans le bus pour aller au lycée, encore étourdi par la première cigarette du matin. Il écrit en écoutant le rap français du moment. Quand viens le soir il compose des instrus basiques et s'essaie au rap.
Au même moment il entend par hasard le titre Hexagone de Renaud. La version studio, avec le riff d'harmonica et la voix nasillarde, arrogante, et frondeuse d'une espèce de Dylan Français. Quelques-semaine après il pique une guitare à son beau-père se procure des livres de partitions du protest-singer français et se met au turbin.
La guitare ne le lâchera pas, finir le lycée laborieusement ... école de communication à Paris, vers la Bastille, puis école de commerce à La Rochelle, parce-que « Le commerce ça marchera toujours ».
Les chansons s'accumulent, la guitare comme bouclier parce-que la voix mal assurée, les premières années de boulot. Les scènes ouvertes et les jam sessions. Les galères de la vie normale, les mascarades et les déceptions de la vie moderne.
La musique : sémaphore rougeoyant pour jour de tempête, reste, à la fois muse et mère nourricière.
Aujourd'hui, Josselin Beaumont c'est un grand dégingandé au-delà du 1,90m, une gueule à mi-chemin entre Depardieu et Delon jeunes. Une voix qui emprunte à Jacques Dutronc, au Johnny des débuts ou au Liam Gallagher période Définitely Maybe. Et des composition Rock'N Roll et et Folk-Rock, toujours en Français.
Ça parle des frustrations du quotidiens, des chagrins d'amours, des désillusions de l'âge adulte, des luttes internes universelles. Mais aussi de l'amour, la famille, les amis.
Les choses aussi simple qu'un café en terrasse avec la femme qu'on aime, une grosse marrade imbibée avec ses copains d'enfance. Un déjeuner dominical en famille au printemps. Bref, la vie !
« Mes amis, mes amours, mes emmerdes » comme chantait l'autre !
josselin.beaumont89 (a) gmail.com
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Fête de la cerise